Page:Laprade - Les Voix du silence, 1865.djvu/152

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Il n’aboutira donc qu’à mourir sur l’entrée !
Le mur est de granit et la porte est de fer ;
Nul ne la brisera, demain pas plus qu’hier.
Morne et baissant la tête et ne sachant que faire,
Le preux sur sa poitrine aperçoit le rosaire :
Son talisman parlait et s’offrait, il comprit,
Lui fit toucher la porte… et la porte s’ouvrit.