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MEiNU

Parlons maintenant Au.menuet nu point de vue musical, La mesure en était a trois temps et le mouvement modéré, pour ne pas dire lent. Compan ajoute : < Le nombre des mesures de l’air, dans chacune de ses reprises, doit être quatre ou un multiple de quatre, parce qu’il en faut autant pour achever le pas du menuet, et le soin du musicien doit être de faire sentir cette division par des chutes bien marquées, pour aider l’oreille du danseur et le maintenir en cadence. » Les airs de menuet composés par Exaudet et Fischer sont restés célèbres. On introduisit bientôt le menuet eu théâtre : on connaît celui que Mozart a placé dans le premier finale de son Don Juan, et qui est si plein de franchise, d’un goût si exquis et sUpur ; Grétry en écrivit aussi pour quelques-uns de ses ouvrages, et il en est un qui devint fameux, celui 2e la Dansomanie, ballet de Gardai.

Les anciens compositeurs de musique instrumentale intercalèrent aussi des menuets dans le» sonates, les duos et autres espèces de morceaux, ainsi qu’ils avaient fait pour la gigue, l’allemande, la gavotte ; niais le menuet seul eut une longue durée et, aujourd’hui encore, il a cours dans la symphonie. Les premiers musiciens qui l’employèrent ainsi lui conservèrent les formes, le caractère et la mouvement du menuet dansé : on peut le remarquer dans les œuvres de Boccherini. Mais les Allemands le modifièrent d’une telle façon et lui donnèrent une telle prestesse et une telle vigueur que, bien que sa mesure soit à trois temps, elle est devenue si rapide qu’on n’en peut battre qu’un seul. « Le menuet de symphonie, dit Cnstil-Blaze, de quatuor, de sonate, est ordinairement un morceau d’école, dont l’harmonie recherchée et les effets singuliers, quelquefois même bizarres, contrastent avec l’amabilité gracieuse de Validante qui le suit ou le précède. Le menuet se compose de deux parties : la première comprend trois reprises ;" !a seconde, appelée trio, n’en a le plus souvent que deux. Toutes ces reprises se répètent la première fois. Au da capo, on va de suite jusqu’à la fin de la première partie, que l’on reprend toujours après le trio. Certains menuets ont une queue ou coda, et alors on les écrit tout au. long pour éviter les méprises que des renvois trop multipliés pourraient causer. »

Les menuets des quatuors et des quintettes de Boccherini sont empreints d’une grâce enchanteresse ; ceux qu on trouve dans les symphonies de Mozart, dans les symphonies et les sonates de Haydn, sont adorables. Beethoven en a écrit aussi de délicieux.

Menuet d’Eiauiiei. Ce menuet célèbre, regardé comme le chef-d’œuvre du genre, a sauvé de l’oubli le nom de son auteur, sous lequel il est encore connu. Il dat6 do la première moitié du xviue siècle. Exaudet y adapta des paroles de Favart, Ce morceau fit les délices de nos aïeux ; il se répandit partout, en France et bien au delà. Une foule de chansons et de couplets de vaudeville se sont chantés sur cet air, qui nous semble bien vieillot aujourd’hui, mais qui a fait danser plusieurs géuérations.

Allegretto

Io’Çquplet. Cet é- tang, Qui s’é - tend

Dans la plai - ne, Ré-pète au sain de ses

lËÉlÉÉifÉilÉi

eaux Les verdoyants ormeaux, Où le pampre s’en

chai- -ne. Un ciel pur, Un a-zur tr

pIpÉiiÉpii

Sans nu - a - ge, Vi-vement s’y ré-flair

chit, Le tableau s’enrl - chitD’i-maFin. h tr

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ge. liais, tandisquel’oa ad - roi - re

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Cet- te on-de où le ciel se roi - re.

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Un tC-plivr Vient ter-nir Sa sur ■ fa - ce.


D’un souffle il confond les traits, I/écJatde (antd’ob*

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Fia ducouplet, —B-S—I——i

DEUXIÈME COUPLET.

Un désir. Un soupir, O ma flllB, Peut aussi troubler un cœur Où se peint la candeur, Où la sagesse brille. Le repos, Sur ces eaux, Peut renaître ; Mais il se perd sans relour Dans un cœur, dont l’amour Est maître. Mais, tandis que l’on admire Cette onde où le ciel se mire, Un zéphyr Vient ternir Sa surface. D’un souffle il confond les traits, L’éclat de tant d’objets S’efface.

MENUET, ETTE adj. (me-nu-è, été — dimin. de menu). Petit et délicat, il Vieux mot.

MENUFEUILLÈ, ÉE adj. (me-nu-feu-llé ; Il mil. — de menu et de feuille). Bot. Dont les feuilles sont très-étroites.

MENU-GROS s. ni. Techn. Fragments d’or et d’argent qu’on retire des cendres après la première opération du lavage.

MENU1SAGE s. m. (me-nui-za-je — rad. menuiser). Action de menuiser : Le menuisage des bois de charpente.

MENUISE s. f. (me-nui-ze — r&à. menuiser), Techn. Bois débité en planches, il On dit aussi

MENUISAILLB.

— Eaux et fo’r. Menu bois qui ne peut figurer avec le bois de compte ou de corde.

— Pêche. Petit poisson bon a frire. Il Amas de petits poissons, il On dit aussi menuisaille.

— Chasse. Petit, plomb, cendrée.

MENUTSÉ, EE (me-nui-zé) part, passé du v. Menuiser : Planches menuisées.

MENUISER v. a ou tr. (me-nui-zé — rad. menu). Techn. Travailler, mettre en œuvre, amincir et découper, en parlant des planches.

— A signifié Rendre menu, petit en général.

MENUISERIE s. f. (me-nui-ze-rî — rad. memdser) An du menuisier : Entendre la menuiserie. Être très-habile en menuiserie.

— Ouvrages faits par un menuisier : Uni belle menuiserie. Une cloison en menuiserie.

— Atelier de menuisier : Construire une menuiserie mécanique.

— Petits ouvrages en or ou en argent, tels que boucles, anneaux, crochets, etc. Il Objets qui se fabriquent en étain, excepté la vaisselle et les plats.

— A signifié Minutie, bagatelle.

— Encycl. La vienuisen’e remonte à la plus haute antiquité. Cet art se distingue nettement de la charpenterie, en ce que l’on y emploie pour le débitage, la coupe et le polissage des bois, des outils très-perfectionnôs, tels que les rabots et les scies de toutes sortes. Cette partie de la construction brille surtout par la perfection des assemblages, par les combinaisons de coupe et de trait, ainsi que par le mélangé des bois de différentes essences employés suivant leur texture et leur force. La menuiserie se divise en deux parties • la première, connue sous ls nom de menuiserie dormante, comprend les ouvrages appliqués aux murs, aux voûtes, aux planchers et aux plafonds des bâtiments, et en général à toutes les constructions fixe ? exécutées par les procédés de cet art ; la seconde, à laquelle on donne le nom de menuiserie mobile, comprend les portes, les croisées, les volets, et en général tous les ouvrages de menuiserie qui servent à clore à volonté les issues pratiquées dans les murs des édifices pour y pénétrer soi-même ou pour y introduire la lumière. D’après ’Vitruve, les Romains n’employaient himenuiserie que pour former les portes, les plafonds et les divisions dans les édifices’ ; ils lui donnaient le nom d’ûpus inteslinum, ouvrage d’intérieur. Devenu, dans nos climats, un moyen d’assainir les habitations, cet art prit un grand développement, et l’architecture en a souvent tiré le plus grand parti pour la décoration intérieure et extérieure. Jusqu’au xiu° siècle, les ouvrages de menuiserie ressemblent beaucoup, pour la combinaison des assemblages, à des œuvres de charpenterie exécutées sur une petite échelle. À dater de cette époque, l’art de la menuiserie prend un grand essor, possède des règles particulières et arrive à Un degré de perfection remarquable. Les tradi MENU

tions de cet art résultent : l° d’une parfaite connaissance des bois ; 2° d’un principe de tracé savant ; 3° d’un emploi judicieux de la matière en raison de ses qualités propres. Les bois le plus généralement employés dans la menuiserie sont : le chêne tendre et le dur, le châtaignier, le noyer, le hêtre, le sapin etle peuplier. Celui de tous ces bois qui se prête le mieux aux ouvrages de la menuiserie est le chêne, à cause de sa rigidité, de la finesse de ses fibres, de sa dureté égale et de sa beauté. Malgré toutes ces qunlïtés, le chêne est l’arbre qui présente le plus de difficultés dans le choix, à cause des différences remarquables que l’on rencontre entre les arbres poussés sur des sols de nature différente. Le chêne dur que l’on emploie en B’rance est de deux espèces : la première, connue sous le nom de bois français ou de pays, provient du Bourbonnais ; son bois est noueux, dur, rebours et difficile à travailler ; sa couleur est pâleetgrise.et il setourmente facilement ; ces quulilés et ces défauts ne le font utiliser que dans les ouvrages grossiers qui ne demandent que de la solidité. La seconde espèce, que l’on tire de la Champagne, est plus propre aux ouvrages de menuiserie fine, surtout lorsque, après l’avoir refendu en voliges, on l’a laissé quelque temps a l’air ; le bois de ce chêne est moins dur et moins noueux que le précédent, sa couleur est jaune. Cette dernière espèce de chêne, que nous appelons.aujourd’hui chêne de Hollande, est fournie par la Champagne, les Vosges et l’Alsace. Kn effet, beaucoup de bois de menuiserie qui nous viennent de la Hollande sont achetés par les marchands hollandais dans les forêts au-dessus de Reims ; la manière de débiter nos bois nous rend tributaires des Hollandais. Ceux-ci emploient le débitage sur maille, qui consiste à faire les sciages, autant que possible, tendant toujours au centre de l’arbre, ainsi que le pratiquent les fondeurs de merrain. Le chêne tendre, que nous tirons de la Lorraine ou des Vosges, est plus tendre que les précédents, d’un tissu plus lâche, presque sans nœuds ni gale, ît d’une couleur jaune clair parsemée de taches rouges, on l’utilise principalement pour les sculptures, parce que, étant très-gras, ses fils trop courts l’exposent à se casser lorsqu’on l’applique aux pièces assemblées. On fait encore usage du bois de Fontainebleau, qui tient le milieu entre le bois français et le buis des Vosges ; moins dur que le premier et plus tendre que le second, il se prête facilement à la confection des moulures. Le défaut de ce bois est d’être sujet à une espèce da ver qui y fait des trous de om, Ot sur om,12 à om, i5 de longueur, et même plus. Les sapins, très-propres aux ouvrages de menuae<~it, et.l’un usage si fréquent, sont tirés de l’Auvergne et des Vosges ; le sapin d’Auvergne a beaucoup de nœuds et se travaille difficilement, l’autre en a moins et est plus uni : ces deux espèces sont altérées par les saignées que l’on y pratique pour en extraire la résine. On emploie encore le sapin rouge ou de Hollande, dont la qualité surpasse de beaucoup celle des bois précédents ; il a non-seulement une solidité presque égale a celle du chêne, mais il est encore d’une couleur agréable mélangée de veines nuancées, avuntagequi lui permet, plus qu’à tout autre bois indigène, d’être employé sans le secours de la peinture. Il se travaille aussi bien que nos chênes et pèse beaucoup moins. Cette espèce de sapin se tire en majeure partie de la Norvège ; il est transporté de la Hollande sur nos côtes et jusqu’à celles de Bretagne par des navires marchands qui, en venant y charger, se lestent avec ce bois, ce qui le rend commun et peu cher dans ces divers pays. Le bois dont on fait le plus grand usage dans la menuiserie, après le chêne et le sapin, c’est le peuplier, dont les espèces sont très-nombreuses. Le peuplier blanc et 1« grisard ou grisaille de Hollande sont ceux que l’on emploie le plus communément à Paris. Quand ils sont bien secs et bien choisis, on les préfère quelquefois au sapin, et particulièrement le grisard, fiarce que, leurs pores étant plus serrés, on es travaille généralement avec plus de propreté et de solidité Le châtaignier, le noyer, l’orme, l’acajou, le bois de rose et les autres bois sont employés dans la menuiserie pour faire les placages, les panneaux et les décorations ; ils ont en général, toutes les qualités requises pour être travaillés convenablement et acquérir le plus beau poli. Pour être employés dans la menuiserie, les bois doivent être parfaitement sains et secs, coupés vifs depuis cinq, dix et même quinze ans, en raison de leur dureté et de la perfection qu’exigent les ouvrages ; débités sur le droit fil, sans aubier, sans nœuds vicieux, sans malandres, sans gélivures, sans roulures, sans piqûres de vers rongeurs ni aucune pourriture. Les arbres morts sur pied ne produisent qu’un bois de mauvais usage, parce que, l’humidité y étant desséchée et la sève étant retirée, il reste trop de vide entre ses pores, ce qui le rend faible, sujet à gercer, à éclater, à se casser et à pourrir promptement. Les menuisiers du moyen âge n’employaient pas les bois trop vieux, qui sont sujets à gercer et à se piquer. Ils faisaient débiter des chênes de deux cents à trois cents ans, c’est-à-dire des troncs dont le diamètre, à 3 mètres au-dessus du sol, aubier déduit, varie de om, 70 à l mètre. Ces bois une fois débités étaient d’abord laissés dans des lieux humides et même dans l’eau, puis empilés à clai MENU

res-voies sous des abris secs, retournés souvent et quelquefois soumis à l’action de la fumée. M. Viollet- le-Duc pense que c’est ainsi qu’ont dû être préparés les bois qui ont servi à faire les stalles de la cathédrale d’Auoh ; ces bois ont acquis l’apparence du bronze florentin. Les bois dont on fait usage dans la menuiserie sont appelés bois d’échantillon ; ils sont débités en grosseurs, largeurs et longueurs appropriées aux divers besoins ; ils prennent différents noms particuliers, soit en raison de leur forme ou de l’usage auquel ils sont destinés, soit par d’autres causes qu’il serait difficile d’indiquer ici. Il est indispensable de connaître les mesures de ces divers échantillons, afin de pouvoir régler sur elles l’ordonnance et la disposition des travaux de ce genre. Avant de passer à cette classification, nous rappellerons qu’on fait encore usage en menuiserie de chênes et de sapins que 1 on nomme de bateau, parce qu’on les tire des toues qui apportent le charbon de terre et autres marchandises, et qu’au lieu de faire remonter les bateaux dans les pays d’où ils viennent on trouve plus avantageux Je les déchirer sur les lieux. Plusieurs échantillons de bois sortent de ce déchirage ; le plus mince et le moins beau sert ordinairement à faire des remplissages dans les cloisons de distribution, hourdées et recouvertes en plâtre, ainsi qu’à diverses cloisons de clôture. Le plus beau s’emploie souvent pour du bois neuf, en tablettes, cloisons, planchers, etc. Dans les bois de chêne on distingue : l« le chêne de bateau de rebut : pour remplissages, de om,027 d’épaisseur ; pour cloisons de cave, de om,027 à oln,041 d’épaisseur ; ces bois, dont les longueurs atteignent 15 à 16 mètres et les largeurs 0U1,40 à om,45, se coupent aux longueurs voulues et se vendent au mètre superficiel ; 2» le chêne de Champagne débité : en feuillets ou planches, de oi, ol3 d’épaisseur, 0^,23 de largeur et 2 mètres de longueur ; en panneaux ou planches de oni,02 a épaisseur sur 0">,23 de largeur et 2 mètres de longueur ; en entrevoux ou planches de 011,027 d épaisseur, om,23 de largeur et 2 mètres de longueur, en planches de oui,034, 0 !n,0U, 0"", û47 d’épaisseur sur Oi»,23, on,22, 0U’,20 de largeur et 2 mètres de longueur ; en douillettes, que l’on emploie pour les petits bâtis, de oc, 054 d’épaisseur sur om,32 de largeur et 2 mètres de longueur ; en petits ballants, de 0™, Û75 d’épaisseur sur QM, %n de largeur et 2 mètres de longueur ; en membrures, pour "former les bâtis de la plus forte menuiserie, tels que battants, montants et traversas, de om,08 d’épaisseur sur 010,16 de largeur et 2 mètres de longueur ; en battants de porte cochère, qui forment le plus grand buis de la menuiserie, de om, ll d’épaisseur sur om,32 de largeur et 2 mètres de longueur ; en chevrons, destinés aux mêmes ouvrages que la membrure, de om,08 d’épaisseur sur om,0S de largeur et 2 mètres de longueur. Ces bois commerciaux se vendent au inètre courant ; on les trouve encore sous des longueurs plus grandes : ainsi les battants de porte cochère atteignent 5 mètres ; les membrures se trouvent par morceaux de 2 mètres, 2^,30, 3 mètres, 3m,90 et 4i>,90 ; il en est de même des chevrons ; la doublette est coupée aux longueurs suivantes : 2 mètres, 2™,30, 2™,60, 2ln,95, 31U,35 et 3m,90 ; il en est de même des planchers, des entrevoux, des panneaux et des feuillets. Dans le sapin on distingue : 1° le sapin de bateau de rebut pour remplissages, (le 0IU,027 n’épaisseur, le sapin de bateau marchand, de om,027 d’épaisseur sur om,22 de largeur et im,95 à 5^,85 de longueur ; le sapin de bateau pour échafaud, de 0°i,034 à om,041 d’épaisseur ; ces bois se vendent au mètre superficiel ; les plats-bords tirés des bordages, et que l’on emploie en planches entières pour divers ouvrages qui exigent de fortes dimensions en longueur et épaisseur, tels que des fermes de comble, des courbes, etc. ; ces bois, qui se vendent k la paire, sont de différentes dimensions ; les premiers ont om,054 d’épaisseur Sur ola,36 de largeur en moyenne et 17 mètres de longueur ; les seconds ont om,065 d’épaisseur sur 0U1,33 en moyenne de largeur et 17"’,50 de longueur ; les troisièmes ont o, n,60 d’un bout sur 0™,0S, et on,20 sur 0™,05 de l’autre bout, sur 22m,75 de longueur ; on emploie encore le sapin de bateau roannais, qui se vend aussi à la paire, et dont les dimensions sont 0">,0S d’épaisseur surOm,32 de largeur et 16 mètres de longueur ; 2" le sapin de Lorraine, qui-produit : le feuillet, de 0>n,013 d’épaisseur. oul,32 de largeur et 3’",57 de longueur ; la planche, dont les dimensions sont 011,027, om,034, om,041 pour les épaisseurs, oln,32 et om,25 pour les largeurs et 3ai,57 et 3"’,90 pour les longueurs ; les madriers, qui sont les plus forts échantillons da ce bois, et dont l’épaisseur varie de om,054 a om,065 pour une longueur de 3»>,90 et une largeur de om,22 ; 3° le sapin du Nord, qui produit : le feuillet de 0", ûl3 d’épaisseur, 0">,22 de largeur et 2 mètres de longueur ; le panneau, de ora,020 d’épaisseur sur oul,22 de lurgeur et 2 mètres de longueur ; la planche, dont l’épaisseur varie de on,027 k on,034 sur 0™,22 de largeur et 2 mètres de longueur ; le madrier en sapin blanc et en sapin rouge, de O^jOS d’épaisseur sur om,22 de largeur et 2 mètres de longueur ; le chevron, de om,0S d’épaisseur et de largeur sur 2 mètres de longueur, et le lia&ting, de om,0-4 à om,065 d’épaisseur sur om, i7 de largeur et 2 mètres de