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Page:Le Sylphe - Poésies des poètes du Dauphiné, tome 1, 1887.djvu/176

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170 LE SYLPHE Je l'ignore, 6 mon Dieu, tes desseins adorables Furent, seront toujours pour nos pauvres esprits Des mystères sacrés, obscurs, impénétrables, Et qu'il faut adorer puisque tu le prescris. Mais puisqu'on tes parvis la vierge est de ta suite, Qu'elle chante ta gloire et te suit pas à pas, A ses pauvres parents qui pleurent sur sa fuite Sèche les veux, rends-leur le bonheur ici-bas. Jean SARRAZIN.