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Page:Les Deux Bourgognes, tome 7, 1838.djvu/22

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— Eh quoi ! s’écria Cornelio, pouvez-vous croire à de vains bruits qu’accrédite contre moi la superstition ou la malveillance ? »

L’étranger le regarda fixement, en croisant les bras sur sa poitrine, et prononça les paroles suivantes :

« Fomalhaut, l’étoile bleuâtre, salue Algol, l’astre du Zénith étincelant.

— Ah ! dit le vieillard, je vois qu’il est inutile de feindre. Que ne me disiez-vous plutôt qu’un de nos frères vous envoyait vers moi ? »