Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 10.djvu/612

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comme une fonction de et Quant aux limites de l’intégrale relative à ces variables, elles seront les mêmes que pour la seconde équation (l), en sorte que si l’on fait passer par le point un plan horisontal et une surface conique qui ait son sommet en ce point et dont toutes les génératrices fassent l’angle avec la verticale, et que du même point comme centre et d’un rayon égal à l’anité, ou décrive au-dessus du plan horisontal, une demi-surface sphérique, l’intégrale dont il s’agit s’étendra à tous les points de la portion de cette demi-surface, terminée par la surface conique. On aura d’ailleurs

et, par conséquent

Nous supposerons le point du fluide supérieur auquel cette expression de appartient, situé à une distance au-dessus de la surface de séparation des deux fluides, très-petite par rapport à sa distance du centre de l’ébranlement au-dessous de cette surface, et, à plus forte raison, par rapport au rayon ce qui permettra de négliger le second terme de la valeur de à cause de facteur Cela étant, nous aurons

dans le cas de et