reçoivent un échec considérable dans les environs de Lahore, 178. — Une bataille, engagée sous les murs de Délhy, et dans laquelle ils sont complètement battus, les force d’évacuer l’Hindoustan, 183. — Ils sont repoussés du Bengale, et de quelques autres provinces qu’ils ont envahies, sous le règne de Alla-oul-Dien, 195. — Nouvelle invasion dans l’Hindoustan sous le règne de Mohammed III, 224. — Soulèvement des Siddas contre Mohammed III, 231. — Le Moultan tombe en leur pouvoir, 263. — À la suite de Timur ils portent le ravage et la désolation dans le Dévalpour, 270 ; — sont repoussés, après une bataille sanglante, du Moultan qu’ils venaient d’envahir, 299. — Leur invasion et leurs triomphes dans l’Hindoustan sous la conduite et le règne de Baber, 380. — Conquête et prise de possession du Guzzerat sous le règne d’Houmaïoun II, 397. — Invasion du Dékhan et du Bengale, 399 ; — prennent possession de l’empire de l’Inde, 442
Mohabet, général de l’armée impériale dans le Dékhan, marche sur le Bengale, IV, 113. — Il défait l’armée de Schah-Jéhan près des bords du Gange, 114. — Son activité infatigable le fait triompher de toutes les tentatives du prince rebelle, 115. — Ennemis puissans qu’il a auprès de l’empereur, 116. — Résultat de leurs miinœu— vres insidieuses, 118. — Affront qu’il reçoit dans la personne de son gendre, 119. — Audacieux projet de vengeance exécuté avec un rare bonheur, 120 à 122. — Sa générosité imprudente, ibid. — Projets concertés avec l’ambitieux Schah-Jéhan, 124. — Il a le commandement en chef de l’armée impériale, et maintient le calme dans l’empire, 140. — On lui retire le commandement de l’armée, que des circonstances pressantes ne tardent pas
