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IX

La porte de la triste maison
Où s’abrita le rêve des ans
S’est close aux neiges de la saison
Dont frissonnent les nouveaux enfants.

La route ne connaît plus les rois
Qui passaient dans des bruits de tambours,
Ni les prêtres droits sous leurs orfrois,
Ni les bouffons et les troubadours.