Page:Molière - Œuvres complètes, Garnier, 1904, tome 02.djvu/28

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Si vous ne le savez, je vous apprends que j’aime ;
Philis est l’objet charmant
Qui tient mon cœur à l’attache,
Et je devins son amant
La voyant traire une vache.
Ses doigts tout pleins de lait, et plus blancs mille fois
Pressaient les bouts du pis d’une grâce admirable :
Ouf ! Cette idée est capable
De me réduire aux abois.

Ah ! Philis, Philis, Philis.
Ah ! hem. ah ah ah ! hi hi hi. Oh oh oh oh.
Voilà un écho qui est bouffon ! Hom hom hom. ha ha ha ha ha.
Uh uh uh.