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  • CHAP. XVII. Propriété particuliere au gouvernement de la Chine, 391
  • CHAP. XVIII. Conséquence du chapitre précedent, 392
  • CHAP. XIX. Comment s’est faite cette union de la religion, des loix, des mœurs & des manieres, chez les Chinois, 393
  • CHAP. XX. Explication d’un paradoxe sur les Chinois, 394
  • CHAP. XXI. Comment les loix doivent être relatives aux mœurs & aux manieres, 395
  • CHAP. XXII. Continuation du même sujet, 396
  • CHAP. XXIII. Comment les loix suivent les mœurs, ibid.
  • CHAP. XXIV. Continuation du même sujet, 397
  • CHAP. XXV. Continuation du même sujet, 398
  • CHAP. XXVI. Continuation du même sujet, 399
  • CHAP. XXVII. Comment les loix peuvent contribuer à former les mœurs, les manieres & le caractere d’une nation, ibid.

LIVRE XX.

Des loix, dans le rapport qu’elles ont avec le commerce, considéré dans sa nature & ses distinctions.

  • CHAP. I. Du commerce, 410
  • CHAP. II. De l’esprit du commerce, 411
  • CHAP. III. De la pauvreté des peuples, 412
  • CHAP. IV. Du commerce dans les divers gouvernemens, ibid.
  • CHAP. V. Des peuples qui ont fait le commerce d’économie, 414
  • CHAP. VI. Quelques effets d’une grande navigation, 415
  • CHAP. VII. Esprit de l’Angleterre, sur le commerce, 416
  • CHAP. VIII. Comment on a gêné quelquefois le commerce d’économie, ibid.