Page:Musee litteraire - choix de litterature 45.djvu/348

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gibets et les bastilles lui servaient de preuves irréfragables. Tout cela dure encore, mais si contesté !… Ce n’est qu’à mesurer la hauteur de son origine divine, comme on sait, et l’étendue sans limites de ses droits, qu’on peut comprendre, en ces temps de négation insolente, les douleurs de cœur de ceux qui sont restés fidèles à son culte. Brafort, que les partisans des idées nouvelles traiteront assurément de despote, peut à bien des égards, je le répète, être considéré comme un martyre de sa foi.

Mort à soixante-douze ans, la vie ne pouvait plus lui fournir que des amertumes. Sa génération morale est loin d’être éteinte, mais elle semble près de ne plus régner, ou plutôt sans doute va-t-elle revêtir de nouvelles formes ? Pour nous, dans cette histoire fidèle, notre but à été de montrer, sous son vrai jour, un caractère souvent méconnu dans les tristes mêlées de ce temps, de l’expliquer peut-être, et de lui restituer au moins son principal trait : la bonne foi.

FIN DU PÈRE BRAFORT.


TABLE DES CHAPITRES CONTENUS DANS CET OUVRAGE.

PREMIÈRE PARTIE.

CHAP. 
Pages
 211
 216
 221
IV. — 
 226
V. — 
 229
VI. — 
 234
VIII. — 
 243
 247
X. — 
 255

DEUXIÈME PARTIE.

CHAP. 
Pages
 259
II. — 
 269
III. — 
 273
 289
VI. — 
 296
 301
VIII. — 
 310
IX. — 
 322
 330


FIN DE LA TABLE.


Paris. Imprimerie J. Voisvenel, rue Chauchat, 18.