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Page:Nouveau Larousse illustré, 1898, IV.djvu/1032

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GYMNOSPERMK

r.YPS

a coDDQ Icara doctrinps : Z^dod. le atolcîpn. dut apprendre

.1 rtiii * .i,-.’i,iiM.,f .ij.i,.

v.iluiitù lo nirprts do la dou- 

rip do paiuliiMitiiu* iiiimui^-

^ mururloni lo corps. l^Mir

....... • .... .- .> id .iioieuip^ji’coso aobèvu d’oxpli-

quor l«*ur VU' aii>ti^re.

OTMNOSPCRHÉ, ÉE ’Jim’. »{rr’ — du gr. gumno», DU, et (/’ ^ semences à nu.

— logaïuos, do la famille des ai ,

GYMNOSPERMES (>im’. $p^rm’) o. m. pi. Bot. Nom de l’une ’l*»i ■l»Mi uT :ïr»’le«î divisions -le l’embranctiomeiil des

! -s phan«>ro^ames chez 

port^ à DU par udo

— 1 -mfM comprend lo« tr t et di’S tjnéta-Cfti. juirmi U’s dicoty. ^’11 ï^y>t<j’^Ucu cilocuvomcnl par lo I ■ ; ionos de leurs graines, et par lo mode d ■ , -i ^> -• n, :. -le leurs tiges. Mais elles son «îcarioni couiplotemeut par rorf^ni&alioa simple de leurs fleurs, et par la structure do leur ovule : bien avant la ft^condation I-» •- 1 ■ ■•’"rvonnairo se cloisonne et se trausTormo en ui !e substances do r<Sserve, Vend^spenne ; au *■ rnier so dlifi^roncient dos corpuscules , dont rend une oosphère surmontée d’un col. Le I’ • direcioment au sommet de î’ovulc uu, dans . - ..11 dite chambre poUinique. v perme, ot ^ .’^ , ’ ■ i ’Miti^tre fécondée par un tube puUinuiue ; c : .t , ■• ■■■■y ,iM formé se segmente do manière à uoun- r , m :, .i :. runs ; mais, parmi ceux-ci, un seul, en gonoral. attoiiit son développement complot.

GTMNOSPERMIE ; Jim’, mda. f. Bot. Premier ordre do la cla& !te do la dilv namie, dans lo système sexuel do Linné, comprenant les genres dont les graines paraissent 6lro à nu.

OTMNOSPORANGE Jim tpo-ranj’t n. m. Gouro do champignons parasites, do la fanullo des urédinées.

— E^cTCL. Les télcutospores biccllulaires des gymnotporanges couvrent la surface d’un stroma gélatineux. Lo grmnosporango conique habite lo genévrier commun et la Sabine, où son stroma, do couleur orangée, émerge do la sarface des rameaux infestés ; celte espèce forme ses éoidies sur les feuilles du poirier.

0TMN03TACBT8 (jim*, tta-kii») n. m. Genre d’aroTdéos oroQtiées. (Les gymnoslachvs. herbes vivaccs, à feuilles de gramens, & spadiccs cylindriques, à fleurs hermaphrodites, croissent en Austral^ic ; lo fruit est une baie.) I On dit aussi uymsostachtdk n. f.

OYMNOSTACHTUM n. m. Bot. Syn. deCBTPTOPBKAQMB.

GYMNOSTOME >Jm’. ttom’ — du gr. gumnos , nu, ot êtoma, bouche : adj. Bot. Dont l’oritice est dépourvu d’appendices : Capsule othnostous.

GYMltOSTOMUM (jim’, sto-mom’^ n. m. Gonro de bryacées, comprenant des mousses ik coifl’e ventrue ou cuculliforme, à sporange terminal, régulier. (Ces plantes sont de tous les pays ; on en connaît trois espèces françaises.)

GYMNOTE ijim’) D. m. Genre de poissons physoslomes apodos, famille des ^ymnofif/t^j, comprenant do grosses angaillesmuniesd’un appareil électrique.

— Enctcl. La seule espèce du genre est g gymnote électrique, qui habite los eaux douces do l’Amérique du Sud. Co poisson atteint i mètres le long ; sa couleur est verditre foncé avec la gorgo jaune et rouge, otdoux lignes do taches jaunes sur los flancs, par où s’écoulo une humeur essentiollement conductrice de l’électricité. Les appareils électriques, au nombre de deux, sont placés de chaque cdté près do la queue. La faco antérieure des lames électriques e^i Alectropositivo : 1coura "’ --• ’ ' • d’arr Les

ftroduis’.'ui :i ij voonté du pOLisoD. Elles sont asseï violentes pour paralyser de gros animaux, et les i : mnotes s’en 5 ;ervcni pour tuer les poissons dont ils se : m , , ■ f>s Indiens faisaient mirer dans > anguilles tuaient en épuisant su- , lo et son emparaient ensuite sans danger. CViu> traiiiiun. rapportée par llumboldt, semble très exagérée. Au Venezuela, on traque les gymnotes dans de grands lUeus. ot on les saisit en se couvrant los mains avec des gants en caoutchouc. Los corn* motions produisent nno vivo douleur et peuvent mémo renverser "• ’- s lo choc n’est point mortel.

l^’ 'it n’envoyer leurs décharges que

cnns ni que los individus gardés dans

l^ sr> jat^senl loucher impunément par leurs

>ais réagissent contre aoe main étrangère,

.■• no so pose pas sur cax, car l’eau transmet

i.i :•■ . iT^’i» à une certaine distance autour du poisson.

OYMNOTIDÉS (ji"i’i n. m. pi. Famille de poissons physostomi. ’ :> apo-los, dont lo gcnro gymnote est le type. —

Un OTMNOTIDÉ.

OYMNUnE on OYMNURA ’ j^m’^ n. 10. Genre de mammifère : iacéidés, comprenant des .1 [.res a la Malaisio et restoMi i ;:.’nes. (Les gymnuros sont lo ty["J i une tribu L’- Ils ij>j<nnurin^s. On en connaît trois espèces, répandues do Sumatra a Bornéo.)

GymPIE, ville d’Australie (Queonsland [comté do Marchh ; 13.610 hab. Mines d’or.

QYNANDRE {ji — du gr. (juni, femelle, et anir, andros, m&le) adj. Bot. So dit des végétaux qui ont tes étaminos insérées sur lo pistil ou sur l’ovaire.

GYNANDRIE ( fi. drl — rad. çynandre) D. f. Disposition do la fleur, dans laqnello les éiamines sont soudées co an seul corps ’ gynostème) avec le pistil.

CTNANDRIQUE fl’lj. Syn. do OTNA ?ïDBE.

GYNANDROMORPBE ou OYNANDROMORPBUS (ji, fttêt a. m.<vcDro d insectes coléoptères carnassiers, famille des carabidés. tribu des harpalïnés, comprenant ooe espèce

Gyn^uU.

européenne répandue dans la France centrale et méridionale, le gynandromorphus Etruscus, rougo et bleu.

GYNANTBROPE (71 — du gr. guuè, femme, ot anlhrôpos. hommes u. ni. Hermaphrodite qui tient plus du la femme que de l’homme.

GyndÈS uu DÉLAS, rivière do l’ancienne Médie, affluent du Tigre ; aujourd’hui lo Dialo. Cyrus marchant contre Babylono, perdit, en traversant cêlio rivière, un des chevaiu sacrés. Four la punir de co sacrilège, il la détourna do son lit et la divisa eu 3C0 canaux.

GYNÉCÉE [ji, se — du lat. ggnrceum, gr. gunaikeion ; do gnnè, femme) n. m. Antiq. gr. Appartomenl dos femmes, dans les maisons grecques.

— Antiq. rom. Y. la part, oncycl.

— Bot. Syn. do imstil.

— Féod. Atelier où travaillaient, pour le seigneur, los vassales ou femmes de corps.

— Encycl. Aniiq.gr. Dans los maisons grecques importantes, lo gynécée était distinct do l’apparlement des hommes. Le gynécée était ordinairement placé à l’arrière do l’habitation. Il comprenait, disposées autour d’une cour ou péristyle, une grande pièce {piKos), où. se tenait la maîtresse do maison, une chambre ù coucher où était le lit conjugal {thalamos), diverses chambres pour les esclaves, etc.

— Antiq. rom. A Rome, sous la république, on donnait aussi lo nom do gynrceum ou gyn :ecium à l’appartement des femmes. Sous l’empire, au moins depuis le iv» siècle do notre ère, on appela également ainsi des garde-meubles impériaux, auxquels étaient annexés des ateliers do femmes ou mémo de grands établissements industriels où l’on fabriquait des vêtements. Ces garde-meubles, qui existèrent à Home ot même dans d’autres villes de l’empire, étaient dirigés par des procuratores yynsciorum.

GYNÉCOCOSHE {ji. ko-kossm’ — du gr. (^unaiiteion, gynécée, ot kosmos, ornement) D. m. Nom donné parfois aux gynécunumes.

GYNÉCOCRATE (ji) n. m. Partisan do la gynécocratie.

GYNÈCOCRATIE (^ï, cl — du gr. gunaikeios, de femme, et kratos, puissance) n. f. Etat oui est ou peut être gouverné par des femmes, comme l’Angleterro.

GYNÉCOCRATIQUE (ji, tik") adj. Qui a rapport à la gynécocratie.

GYNÉCOGRAPHE iji — du gr, çunê, aikos, femme, et grap/ietn. écrire) n. m. Auteur qui a écrit sur la femme, sur la gynécologie.

GYNËCOGRAPHIE {>i, fî — rad. gynécographe) n. f. Ecrit spécial sur la femme, sur la gynécologie.

GYNÉCOLOGIE (ji, lo-jî — du gr. gunê, aikos, femme, ©t logos, traité) n. f. Science ou traité des organes sexuels do la femme, do leur physiologie, de leurs maladies, il On dit aussi gynologie.

GYNÉCOLOGISTE (ji,jisst’)ou GYNÉCOLOGUE {ii, logh’) n. m. Savant, médecin, qui s’occupe spéciaicment do gynécologie. Il On dit aussi gynologuk.

GYNÉCOMANIE iji, ni — de gunê, aikoSj femme, ot de manie) n. f. Amour excessif des femmes.

GYNÉCOfilASTE {{ji, masst’ — du gr, gunaikeios, de femme, et mastos, mamelle] n. m. Hommo dont les mamelles sont développées comme celles d’une femme.

GYNÉCOHASTIE {ii, masti — rad. gynécomaste) n. f. Développomout exagéré des mamelles chez Ibommo.

— Enctcl. La gynécomastie, unilatérale ou bilatérale, congénitale ou acquise, consiste tantôt dans une hyporiropnio des glandes, tantôt dans un développement exa-

féré de la graisse mammaire. Elle est souvent liée à ’autres anomalies sexuelles ot s’accompagne souvent d’un aspect général féminin appelé féminisme.

GYNÉCONOME [ji — du gr. gunaikeios, do femme, et nomcus, qui régit n. m. Antiq. gr. Magistrat qui. à Athènes et dans d’autres Etats grecs : à Syracuse, à Milet, etc., était chargé do surveiller le costume et la tenue dos femmes, de faire observer los lois somptuaires.

GYNÉCOPHORE {ji — du gr. gunè, femelle, et pAoro», qui porict n. m. Dépression dans laauelle le distome mMo porto le disiomo fomello. (On a appelé aussi ■ gynécophore » la douve ello-mémo des hématuries, bilfiarzia hxmatobium.)

GYNÉRION 00 ^’ *"• (jonro de plantes, do graminées festucées, dont l’espèce tvpo croît dans l’Amérique tropi- cale.

— Encycl. Ai gynérion argenté, vulgairemcnt nommé Aérée des pampas, est une graminée gigantesque, à rouilles 1 a r* ges ei formant d’amples Pt hautes lourTcs radicales. Du centre do la toutfo s’élève une tlgo de 3 mètres ot plus de hauteur, droite, régulière et terminée par une vasto paniculo terminale d’un blanc soveux. Cette b’ello plante croît dans l’Amérique du Sud, notamment & la Plata.

GYNIZE (ii — du gr. gunè, fcmello, pistil) n. f. Surface papilleuse du gynostème, on bien orince stigmatiquo de certaines orchidées.

GYNOBASE (>i ) n. m. Bot. Portion da réceptacle floral

que supporte le pistil,

OYNOBASXE (ii. s() n. f. Bot. Science qui s’occupe de la disposition des éléments du pisûL

OToérion.

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GYNOBASIQUE {ji, ba-zik’ — du gr. gunè, femelle, et bnsis, bu !>e) udj. Qui part de la base du pistil. (Se dii, par exemple, du style des labiées, partant du fond do la profondt’ dépression qui sépare les deux carpelles.)

GYNOGARDE ou GYNOCARDIE ^>ï, di ) n. f. Genre do bixuct-es, ( oiiipreiiaiil des arbres à feuilles alternes, à fleurs axillaires ou en cynies. (Le fruit est une grosse baio renfermant des graines nombreuses, dont on extrait une huile vomitive. Les espèces connues sont de l’Inde.)

GYNOCARPE Ml — du gr. gwiè, femelle, et karpos, fruit) adj. But. t,fui a des semences ou des sporutes nues.

GYNOCIDION {ji, si) n. m. Petit renflement situé à la ba^e du ]iédoiK’ule de l’urne, dans certaines mousses.

GYNO-DIOÏQUE (du gr. gunè, femelle, et do dioh/ue) adj. Plante ayant des fleurs hermaphrodites et des fleurs femelles sur deux pieds ditrércnts.

GYNO-MONOÏQUE (^du gr. gunè, femelle, ot de monoloiie) adj. Plante avant sur le même pied dos fleurs hermapurodites et foniollos.

GYNOPHORE (du gr. gunè, femelle, et phoros, qui poriei n. m. Bol. Sorte de pédicelle au sommet duquel est porté lo pistil de certaines (leurs (câprier, sterculio, etc.), et résultant do l’allongement de rentre-nœud qui sépare le pistil do l’androcéo. Il On l’appelle aussi carpopdork.

GYNOSTÈBIE {ji, stèm’ — du gr. gunè, femelle, et slémôn, tilet, étamino) n. m. Organe résultant, chez certaines plantes À ovairo infère, orchidées, aristoloches, stylidiées, d’une concrescenco qui se poursuit, entre l’androcéo et lo gynécée, au-dessus du niveau auquel le calice ot la corolle reprennent leur indépendance.

GYNURE {ji) n. f. Bot. Genre do composées, comprenant quelques espèces de l’Asie tropicale.

Gyobaa, bourg d’Auslro-Hongrie (Hongrie [comitat de Bekes , iur le Kôrôs ; 10.867 hab. Marché.

GyÔNGYÔS. ville d’Austro-Uongrio (Hongrie [comitat d’Heves]), au pied des monts Matra ; 16.124 liau. Commerce de grains et fruits ; vins ; fabrication do lainages ; tanneries.

GyÔNK, bourg d’Austro-Uongrie (Hongrie [comitat de Tolnaj) ; 3.371 halj.

GyÔR. Géogr. V. Raab.

GyÔR-SZENT-MARTON. Géogr. V. Martïnsberg.

Gyp (.Sibylle-Gabrielle-Marie-Antoineite dk Riquetti DE Mirabeau, comtesse de Martel de Janville, connue sous lo pseudonyme do), femme do lettres française, née au château de Koëtsal (Morbihan) en 1850. Arrièro-potitenièco de Mirabeau, sous le nom de Gtp, elle a publié des études pleines do fantaisie, do verve ot d’audace, sur les mœurs et les travers de la société, du monde de la haute vie et des politiciens. Elle a écrit, en outre, des romans. Gyp s’est activement mêlée aux mouvements boulangiste, antisémitiquo, nationaliste. Elle a aussi exposé des tableaux. Parmi ses nombreux ouvrages, nous citerons ; la l er/u rfe /a AaroHne (1882) ; Petit Bob (1882) ; .Autour du mariage {%9>'s) Ce que femme veut... (1883) ; Plume et poil {s^i) : Elles et Lui (1885) ; Sans voiles ! (1885) ; Autour du divorce (1886) ; Dans rtrain (1886) ; Joies conjugales

(1887) ; Mademoiselle Loulou

(1888) ; Petit Bleu (1888) ; Ohéî tes psychologues ! (1889) ; l’Education d’un prince (1890) ; Province ! (1890) ; Ohé ! la grande vie ! ! {IS91) ; une Passionneile {IS91) ; Ces bons docteurs (1892) ; Du haut en bas (1893) ; le Journal d’un philosophe ; le Mariage de Chiffon (1894) ; Ces bons Normands !... (1895) ; les Gens chics (1895) ; Leurs âme» (1895) ; Ohé ! les dirigeants ! (1896) ; le Baron Sina} (1897) ; Israël (1898) ; Journal d’un grinchu (1898) : S port ma n ornanie (1898) ; les Cayenne de ^io(i899) ; Trop de chic (1900) ; Friifuet (1901) ; etc. Gyp a fait jouer mielques pièces : Autour du mariage (1883J ; Mademoiselle Eve (1895) ; etc.

GYPAÈTE {ji — du gr. gupaiétos ; do gups, vautour, et aétos, aigle) n. m. Genre d’oiseaux rapacos, famillo des falconidés, type d’une tribu dite des gypaétinés, vulgairement nommés vautours barbus.

— Encycl. Les gypaètes sont de puissants oiseaux à long bec crochu, à largo et longue queue, à ailes très vastes, qui font lo passage entre les aigles et les vautours, dont ils se rapprochent par leurs serres faibles, mais ils sont voisins des premiers par leur cou et leur tète munis de plumes on flèche. I>a seule espère du genre {gypaetus bnrbntus, gypaète oarbu). vautour des agneaux {Irmmergcgcr ) mesure 1».50 do long, sur î",60 d’envergure. Brun grisâtre, plus ou moins fauve en dessous, avec le ventre et ta gorge blancs, cet oiseau

firésent<’ la remarquable acuité d’avoir uiielivrée Grpa^te.

toujours appropriée aux teintes du sol sur loquel il vit ; aussi en a-t-on fait dos espèces ot des variétés pour les individus d’Arabie, d’Abyssinie, du nord de l’Inde. Répandu dans toutes los montagnes do l’ancien monde, il se nourrit surtout de charognes. 8a puissance drgosiiveest extraordinaire. lyos Espagnols l’appellent tfuebranta huesos, broyeur d’os. On a accusé le gypaète d’attaquer les bestiaux, les chamois, voire les enfants ; co n’est guère probable ; il plane toujours au-dessus dos précî-

f lices, guettant les animaux (|ui s’y laissent tomber pour es dévorer à loisir. Son œil fixe, d’un rou^o vif, son attitude impassible donnent à cet énorme oiseau qtielque chose deirrayani ; mais c’est un être inoff’ensif et timide. QYPS n. m. Ornilh. V. vactolr.

Gyp.