Page:Rolland - L’Âme enchantée, tome 4.djvu/230

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Sylvie s’emporta :

— Et voilà une mère !… Je me moquerais bien, moi, qu’il fût humilié, qu’il ne me pardonnât point, pourvu que je l’aie sauvé !… Eh bien, si tu ne le fais, je le ferai, moi…

Annette cria :

— Je te le défends !

— Tu n’as rien à me défendre.

— Ah ! dit Annette. Crois-tu donc qu’il suffise de le soustraire au danger ?

— Qu’est-ce que tu redoutes ?

Annette redoutait que Marc ne le cherchât.