Page:Rouquette - Meschacébéennes, 1839.djvu/75

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Près d’une femme, en proie à l’amoureux délire,
Le poëte est muet, il se tait et soupire.
De mille émotions à la fois oppressé,
Il veut poursuivre en vain un rhythme commencé ;
Pour calmer de son cœur l’ardente frénésie,
Il appelle, il évoque en vain la poésie :