Page:Rouquette - Meschacébéennes, 1839.djvu/76

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L’ange de sa jeunesse et de ses plus beaux jours
Semble s’être envolé, l’avoir fui pour toujours…
Oh ! pour chanter l’amour sur la lyre inspirée,
Pour peindre le regard d’une vierge adorée,
Pour que les vers, à flots, débordent… que faut-il ?
Il faut la solitude, ou l’absence, ou l’exil !




Décembre 1837.