Page:Rouquette - Meschacébéennes, 1839.djvu/77

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There is a pleasure in the pathless woods.
(BYRON.)

Et puis tous deux assis, quel bonheur de lui dire
De ces mots qu’on invente et qu’on ne peut écrire,
Ces mots mystérieux qui font trembler la voix,
Prononcés, dans les pins, pour la première fois !
(MÉRV.)




Oui, je pars ; il me faut la solitude immense !
Quand je vois ma forêt, alors je recommence
À revivre, à rêver sous mes pins toujours verts,
À m’égarer pensif, à composer des vers.
Quelle est donc,