Page:Rouquette - Meschacébéennes, 1839.djvu/83

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Oh Rome, my country ! city of the soul,
The orphans of the heart must turn to thee,
Lone mother of dead empires....
(BYRON.)

Rien ne m’allait au cœur comme ces murs pendans,
Ces terrains sillonnés de mâles accidens,
Et la mélancolie, empreinte en cette terre,
Qui ne saurait trouver son égale en misère !
(BARBIER.)



Oh ! pour mon cœur souffrant, pour ma tête affaiblie,
Anatole, il faudrait les brises d’Italie !
Sur la lagune bleue, au bruit de l’aviron,
J’aimerais assoupi, comme Goethe et Byron,