Page:Segur - La Fortune de Gaspard.djvu/271

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terai ce que j’ai toujours été, votre bienfaiteur et votre ami.

— Bravo ! bravo ! » cria-t-on de toutes parts.

Ces cris et bien d’autres se prolongèrent jusqu’à ce qu’on eût perdu de vue M. Féréor et l’héritier de sa gloire. Gaspard était si heureux, si ému, qu’il ne songea ni à son père, ni à son frère ; il n’avait dans l’esprit que sa position actuelle, avec les avantages immenses qui dépassaient tout ce qu’il avait désiré et espéré.

Vignette de Bertall
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