Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/115

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O les misérables amants !
Oh ! la trahison mutuelle !

En te revenant, je le sais,
Je cours à des maux insensés.
Tu le veux ! j’obéis. Qu’importe !

Puisqu’il faut à ton pied vainqueur,
Pour le meurtrir encore, un cœur,
Prends le mien, je te le rapporte !

                      ***

Peu m’importe que de la nue
Le voile soit triste ou joyeux.
Depuis que tu m’es revenue,
Je n’ai plus regardé les cieux