Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/140

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Sûr que je la reverrai
Plus aimante et plus jolie.
L’âme des anges s’enfuit
Vers les cieux profonds où luit
Une aube perpétuelle.
La nuit, la mer et les bois
M’ont dit, pleurant à la fois :
— Elle est morte la noctuelle !