Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/153

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III


Pareil au feu de l’Orient
Qui monte des bords de la plaine,
Il s’était levé, souriant,
Dans le ciel d’or de Mitylène.
O jour pour moi sans lendemain !
De mes yeux cachant la brûlure,
Aveugle, j’ai pris son chemin
Aux parfums de sa chevelure !