Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/219

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Ah ! laisse, à mes regards que la superbe fuit,
Ton front indifférent rayonner dans la Nuit
Qui sur mes bonheurs morts tend sa funèbre toile :

N’éteins pas à mes yeux ce suprême flambeau,
Et garde-moi, du moins, la pitié qu’a l’étoile
Pour le berger pensif assis sur un tombeau !