Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/221

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J’ai dormi bien longtemps sous la pierre couché
Avant que ta pitié sur mon front ait penché
Des résurrections la fleur surnaturelle.

Mes yeux s’étaient éteints, ne devant plus te voir.
Mais telle est ta splendeur et tel est son pouvoir
Qu’ils se sont rallumés pour se lever sur elle !