Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/237

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Le silence du soir emplit l’immensité ;
Un tel recueillement me vient de ta Beauté
Que j’y cède, vaincu par d’invincibles armes.

Mais qu’un frisson vivant passe dans mes cheveux
Le fantôme adoré se brise en mille feux
Dont le scintillement brille à travers mes larmes.