Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/239

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Il ne regrette pas la paix des pics neigeux
D’où son aile prudente, en ses robustes jeux,
Abattait sur les plaines une large envolée.

A l’aigle foudroyé le sort m’a fait pareil.
Le soleil m’a brûlé, mais j’ai vu le soleil.
Je meurs de ta Beauté, mais je t’ai contemplée !