Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/241

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J’aime les soirs pareils à tes sombres cheveux
Et les astres d’argent qui rendent à mes vœux
Les stellaires clartés de ta pâleur divine.

J’aime le soir avec ses troublantes vapeurs
Où mes yeux éblouis de mirages trompeurs
Retrouvent ta Beauté qu’un souvenir devine !