Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/243

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


O Déesse, apparais et, sous ton pied vainqueur
Tressailleront encor les cendres de mon cœur
Pareil à la cité pour Vénus consumée.

Et le sang rajeuni de mes souvenirs morts
Empourprera la route où tu fuis sans remords
L’inutile tourment de ceux qui t’ont aimée !