Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/257

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Sur mon cœur qui n’a pas d’automne ni d’hiver,
J’ai, d’un outil plus dur que la gemme et le fer,
Gravé ton nom vainqueur et, d’une telle force,

Qu’il saignera toujours, lors même que le temps
Aura brisé la vitre aux dessins éclatants
Et de l’arbre blessé fait revivre l’écorce.