Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/261

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On dirait qu’en toi seule, enfin, s’est résumé
Tout ce que les regards des mortels ont aimé
Depuis qu’un souvenir des Dieux hante la terre.

En Toi seule revit l’immortelle splendeur.
Hélas ! Et j’en ai pu mesurer la grandeur
Au deuil qu’elle a laissé dans mon cœur solitaire !