Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/271

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Meure donc la pourpre des roses !
D’immortelles métamorphoses
A tes lèvres mettront leur sang !

Car, ô Beauté, fleur solitaire,
Il faut qu’enfin, pour Toi, la Terre,
Jusqu’au bout épuise son flanc !