Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/277

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D’où ce charme éperdu vient-il à ta Beauté ?
De ton âme ou d’un monde autrefois habité ?
De Toi-même ou du chœur des choses enivrées ?

On dirait que pour Toi seule leur grâce vit
Et que l’Amour tremblant de tout ce qui te vit
Chante et palpite autour de tes formes sacrées !