Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/283

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Vers les rives du ciel qu’on ne distingue plus
La lumière qu’emporte un rythmique reflux
De son écume d’or éclabousse la nue,

Battant la poupe en feu du vaisseau de clarté
Où, sous un dais d’azur, m’apparaît ta Beauté
Qui de mon triste amour enfin s’est souvenue !