Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/291

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Mais, pour se moins trahir, il n’est que plus profond
Le mal délicieux que tes regards me font
Quand leur charme mourant me trouble et me pénètre.

Plus je me sens vaincu, mieux je me sens à toi,
Plus sur mon front dompté je sens peser la loi
Qui fit mon être obscur l’esclave de ton Être !