Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/295

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Sous le rayonnement de ta chère Beauté,
Mes yeux se fermeront sur le rêve enchanté
D’un paradis ouvert devant mes destinées.

Sur mon sein sans haleine on posera les fleurs,
Comme moi-même alors pâles et sans couleurs
Que tu pris sur ton sein et que tu m’as données !