Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/301

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Comme un souffle qui meurt aux trous d’un encensoir.
— Sous des arbres plus hauts que les pins et les chênes,
Tes immortelles sœurs jadis allaient s’asseoir,

Et ce sont leurs doigts blancs qui m’ont forgé mes chaînes,
Pour le monde vieilli que devait rajeunir
L’épanouissement de tes grâces prochaines.

J’adore ta Beauté pour ce grand souvenir.