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Mais quand il reviendra, le soir,
Au lit de l’horizon s’asseoir,
Le Dieu farouche et solitaire,
La mer s’emplira de sanglots
Et le soleil à larges flots
De son sang rougira la terre !
Mais quand il reviendra, le soir,
Au lit de l’horizon s’asseoir,
Le Dieu farouche et solitaire,
La mer s’emplira de sanglots
Et le soleil à larges flots
De son sang rougira la terre !