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Page:Sue - Arthur, T4, 1845.djvu/88

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Les chevaux brûlèrent le pavé.

De ma vie je n’ai voyagé avec une telle rapidité.

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À Versailles je donnai ordre d’arrêter à Paris un peu avant la porte de l’hôtel de madame de Fersen.

Quand j’y arrivai, je vis une épaisse couche de litière dans la rue.

Pensant à la possibilité d’un séjour chez madame de Fersen, et voulant le tenir secret, j’ordonnai à mon domestique de reconduire la voiture chez moi, de dire à mes gens que j’étais resté au Havre, et que, voulant revenir par le bateau à vapeur, j’avais renvoyé ma diligence.

J’entrai dans l’hôtel.