D’autres événements se passèrent quelques jours après la funeste soirée où M. Hardy, fasciné, égaré jusqu’à la folie par la déplorable exaltation mystique que Rodin était parvenu à lui inspirer, avait supplié à mains jointes le père d’Aigrigny de le conduire loin de Paris, dans une profonde solitude, afin de pouvoir s’y livrer, loin du monde, à une vie de prières et d’austérités ascétiques.
Le maréchal Simon, depuis son arrivée à Paris, occupait avec ses deux filles une maison de la rue des Trois-Frères.
Avant d’introduire le lecteur dans cette modeste demeure, nous sommes obligé de rappeler sommairement quelques faits à la mémoire du lecteur.
Le jour de l’incendie de la fabrique de M. Hardy, le maréchal Simon était venu consulter son père sur une question de la plus