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Derrière les deux tours qui gardent son manoir 

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Des bords du canal noir où tu quittas ton linge 

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Dessous la courtine mouillée 

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Dessous le flamboyant qui couvre l’herbe nue 

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De tout ce gala de province 

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Deux vrais amis vivaient au Monomotapa 

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Dormez, ami ; demain votre âme 

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Douce plage où naquit mon âme 

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D’une amitié passionnée 

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D’un noir éclair mêlés, il semble 

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Église de Saint−Augustin 

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Eh, jeûnes à ta faim d’aimer si le déboire 

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Eh quoi, le monde tourne, et mon bol, et ce livre 

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Elle est noire, c’est vrai. Corail ni jameroses 

 140

  

Embrassez-moi, petite fille 

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Enfin, puisque c’est Sa demeure 

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En l’an 1910 de phrases — et du Christ 

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En l’an 801 de Rome 

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En souvenir des grandes Indes 

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Esclave, mais non pas de l’homme, et qu’au matin 

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Est-ce moi qui pleurais ainsi 

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Étranger, je sens bon. Cueille−moi sans remords 

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Filippa, Faïs, Esclarmonde 

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Filles de la fumée, à qui l’aube décente 

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Géronte d’une autre Isabelle 

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Gloire aux victorieux. Mais, de celui qui tombe 

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Hélas, rien ne varie ; et quoi qu’on ait coutume 

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Heure céruléenne, et vous, regards couverts 

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