Page:Toulmouche - Histoire archéologique de l'époque gallo-romaine de la ville de Rennes.djvu/322

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
316

316

pois leur parconrs aa dehors, d’après les indices qa’oo apa en retroorer dans le département d’Ole-et-Vilaine, et enfin les points importans auxquels elles se rendaient.

J’ai lait également connattre la mise au jour de fragmens gaUo-romains de moraiUes, par suite des travaux récens exécutés dans toute la ligne des terrains Toisïus de la Vilaine.

Puis, les divers antiquités retrouvées avant notre époque, et enfin cdllcs découvertes plus récemment durant celle actuelle, et qu’il était si utile de cooserrer à la science.

J’aurai, je l’espère, apporté de la sorte quelques matériaux nouveaux à la reconstruction d’une pMode qu’il importait i l’histoire de uotre ville de ne pas laisser dans une obscurité trop profonde, aujourd’hui surtout que la t«ndance générale des esprits vers les recherches archéologiques, dans le but de reconstruire un passé dont l’intérêt et la gloire rayonnent encore tà vivement autour de nous, fait une nécesiûté, à chaque ville importante, de s’associer à ces nobles efibrts.

Sous ce rapport, ceux faits par MM. Ducrest de Villeneuve et Maillet, qui viennent de publier une Histoire de Rennes, et le premier, en outre, un Album Breton, oii il a consigné une foule de souvenirs historiques de cette ville ; ceux de MH. lAoët de la Forte-Maison, de Kerdrel, et les recherches auxquelles se livrent HM. Bamé, Jouaust fils, Langlois, Paul de Villeneuve, l’abbé Brune, et d’autres membres de la Société Archéologique de Rennes (1), témoignent de l’impulsion et des tendances de notre époque pour les études qui ont rapport k l’histoire du passé, dans le but d’en tirer un enseignement utile pour notre temps et pour ceux qui suivront. En consacrant cet ouvrage à une oeuvre dont l’étendue et les difficultés auraient exigé une vie d’homme, je ne me suis pas dissimulé qu’il laisserait beaucoup )i désirer ; que certaines parties n’y seraient, pour ainû dire, qu’ébauchées, et d’autres k juste droit controversées. Mais il Ëdlait que quelqu’un commençât k défricher ce sol ingrat, et se hâtât de sauver de l’oubli une foule de découvertes importantes. J’ai cm que cette mission (1) Cette sodëté fait partie de la vaste association archéologique bretonne, qui en a établi de semblables à Nantes, pour le département de la Loire-Intérieure ; à Vannes, pour celui du Morbihan ; à Saint-firieuc, pour les Wtes-du-Nord, et enfin à Quimper, pour le Finist ^,