Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/314

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’ I un Iilûllll pressions sont synonymes ; et, quand lacérëmonie est terminée, en contemplant mon’ouvrage, j’ai la satisfaction de voir que la mère et l’enfan¤ se portent bien. Maintenant il s’agit de remplir une forma’licé, Yinscriptiou du nouveau né sur les registres de Pêtat civ il ; nous étions tout portés, je ’m’oHire à· servir de témoin, et lorsque j’ai signé, madame Sablin me dit : « Ah l monsieur Jules, ’ n pendant que vous y êtes vous devriez bien so nous rendre un service. ’ - » Lequel ? · —· · » Jen’ose vous le demander. -·=— » Parlez, si c’est possible.·...î. · -=- na Nous n’avons pas de parrain, auriez° » vous la bonté de l"être ? -· » Autant moi qu’un autre. Où est la mar-I’àîl’18 ll à Madame Sablin nous pria d’appeleiv une de’ses voisines, et dès que cellea-ci Hit prête, nous allâmes à l’église, accompagnés de Sablin, que j’avais mis dans l’impossibilité de se sauver. Les honneurs de ce parrainage ne me coûtèrent pas moins de cinquante francs, et pourtant il n’y eut pas de dragées au baptême. Malgré le chagrin qu’il éprouvait, Sablin