Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/23

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helléniste 5 défunt M. Gail ne liéliüliipàâ plus que moi, à la bonne heure ! Mais lors même qu’à l’instar des chimistes, j’aurais analysé ou fait analyser un de ces messieurs, ’en. saurait-on davantage parce que, singe de MM ; Gay-Lussac et Thêmrd, j’aurais dit qu’un cambrioleur se compose-, sauf les atomes évaporés, de 53,360 de carbonne, Ig,685 d’oxygène, yjoniu d’hydrogènet, 19,954 d’azote, plus la gélatine 5

Palbumine, Tnsmazome, etc. il Eh ! mou Dieu, n’allons pas chercher midi à quatorze heures ; et. sans nous soucier de la renommée, ne proferous pas des paroles qui ne représentent rien, appelons les choses par leur nom. J’ai’trouvé les voleurs baptisés ; je ne serai pas leur parrain, · c’est assez d’être leur h-istoriog-raplie.’i l-n ?y’a- pas loug•-temps que je reçus la visite d’un.·éruelit. D’un ;é=rudit l’Eh pourquoi pas l nè suîàejd entré dans la carrière littéraire ? Depuis què.jiai : publié’ »dee ·’ménioires~, ·il’eàt’véun chez ms jusquziz de gimsinaüèns pour 11.·«sPI= »ae· de m’appren »dre-le’h*tlnçeis’ ;’îà condition que jle leur enseignerai à l’uwggo !i—’ Pëüt-êti’è étài¢g1tiéè’des philoluguesilï Quoi ; qu’il ie1i’so’i*t ’, "l’éri1di’t : vint Chez moi ; que me voulait-il ? on va le v6it’Ã"’° Il m’aborde. « C’est vous qui’étes’MÃ VidocqP