Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/277

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il vnolçs Ill. rait pas le pain si cher.. ;.§ ’une autre fois, ~ » quand vous aurez besoin de moi..... ·, ’ HEmun·1°rn. » Attendez, il faut le faire raix fraîchir, on va monter le vin, il a bien gagné ii un coup à boire..., -· · LE Éonwnun. » Vous êtes bien benne, madame. UN Gançou ne mvn. » C’est üuzie litres ’ nx que vous avez demandés ? · SUSANNE. » Oui, mon garçon ; LE Gimçou. » Les voilà, vous pouvez boire »., ça en toute sûreté.1, il n’y a pas une goutte d’eau là dedans, c’est naturel ; et bien mesuré que vous ètes. · FliÉDÉRIC« w Vous avez votre forêt ? LE Gimçou. » ne nous quitte pas.’, I Faànemc. » Débouchez-nous en six pout ; commencer. Le Gimçou. » Vous n’en souliaitez pas da-, ii vantage, pendant que j’y suis ; voyons, ne A vous gènez pas, il n’en coûtera pas plus. ’ F11ÉnÉ1uc. » Non, c’est assez. ’ LE Gançou. » Puisque c’est assez, au revoir, l’aimable compagnie fil sort) ; Hnummwn (versant du vin  » Ceux qui veulent bpire, approchez ; commissionnaire, ,