Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/397

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un vous, disaîtle chef" de la communauté, à son infortunée compagnie ; donner votre, chaîne n d’or et-dix francs, pour 1me-chaîne-Q e laiton ! ’— Vous avez bientôt fait une bêtel-Conime n cela vous va bien I Allez donc porter votre épingle’au Mont-de-Piété : un morceau de · verre ’ ! et s’il vous plaît, monsieur ne-se contenté pas de donner l’argent qu’il- a sur lui ’, il. faufencore qu’il revienne à la maison chercher soixante francs qui étaient tout ce que nous A possédions, deux couverts et sa- montre. — » J’ai’fait ce qui mïa convenu ; ça ne vous · regarde pas. ’ ’ ’.

—= » Il n’en est pasmoins vrai qg1e~·vous-vous ». êtes laissé gourer. - ’.

— » Gourer I gourer ! c’est bon, madame ; je ne me suis toujours pas laissé gourer par des commères, et si vous ncvous étiez pas amu· » sée à tailler votre bavette comme de cou- A tumc..., . I ’—

» Si vous aviez passé votre chemin, sans vous arrêter à causer avec le premier venu., . ’. — » Je cause ; je cause, pour mes affaires ; et vous ?.....

— » Ah l vous en faites de belles affaires l.... — » Aussi belles que les vôtres, .j’espère