Page:Vogüé - Histoire orientales, 1880.djvu/144

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les fleurs et les espoirs. Je rappelai de nouveau à Vanghéli sa promesse ; le bac revint nous prendre ; comme je me retournais de l’autre bord, le vieux Syrien me fit de la main le grave salut oriental. Il se perdit dans un petit chemin, sous un nuage d’aubépines en fleurs, qui chantaient les fêtes de mai, là-bas, le long de l’eau.