Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome6.djvu/179

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VARIANTES DM) LV MIME. lf,9

L’HIÉnOPlIAXTE.

Modérez l’un et l’autre une indigne fureur ; Rendez-vous à la loi, révérez sa justice. Elle est, etc.

Page 444, vers 20. — Ce vers se trouve ainsi dans trois éditions de 1763 et dans celle de 1774. Dans l’édition de Kelil on lit :

Son épouse en ce jour peut former d’autres nœuds.

Ibid., vers 23. — Au lieu des six vers précédés d’une étoile on lit, dans l’édition de 1774 :

Statira vit enfin, et vous devez savoir

Que sa fille est encor soumise à son pouvoir.

Respectez les malheurs et les droits d’une mère,

Les lois des nations, le sacré caractère

Que la nature donne, et que rien n’affaiblit :

À son auguste voix Olympie obéit.

Qu’osez-vous, etc.

Une autre variante des premiers vers est conservée dans la lettre à Colini, du 21 janvier 1763 :

Statira vit encore, et vous devez penser Que du sort de sa fille elle peut disposer. Respectez les malheurs, etc.

Page 145, vers 22. — Les quatre vers précédés d’une étoile sont retranchés dans l’édition de 1774.

Page 146, vers 13 :

Qu’il est désespéré !… qu’il se déteste ! hélas !

Page 147, vers 28. — Ces quatre derniers vers sont retranchés de l’édition de 1774.

Page 148, vers 14. — Voltaire a fait de grands changements à cette scène : on voit dans la lettre à d’Argental, du 4 6 février 1762, qu’Olympie, au lieu d’engager Cassandre h fuir l’autel qu’elle embrasse, lui disait :

De ce temple surtout garde-toi de sortir. (B.)

Ibid., vers 21 :

C’est là ma destinée.

CASSANDRE.

Ah ! c’est trop de vengeance.

Ibici., vers 24 :

Est-ce donc votre époux qu’il vous fallait hair ? (B.)