Correspondance de Voltaire/1741-Fev-1749
Octobre 1739 à 1740
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◄ | 1741 — Février 1749
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► | Mars 1749 à Février 1753 |
Correspondance de Voltaire
1741
1394.
Le comte d’Argental. Bruxelles, ce 6 de janvier 1741. — « Je suis arrivé à Bruxelles bien tard. »
B
1395.
Mme Quinault. Ce 6 janvier, à Bruxelles. — « En revenant d’auprès des rois et des reines. »
Éd. 1822.
1396.
Helvétius. À Bruxelles, ce 7 de janvier 1741. — « Mon cher rival, mon poëte, mon philosophe. »
B.
1397.
Thieriot. Bruxelles, 7 janvier 1741. — « J’ai reçu deux lettres de vous en arrivant. »
P. in. 1820.
1398.
L’abbé Moussinot. À Bruxelles, 8 janvier. — « J’arrive à Bruxelles. Je vous souhaite. »
C.
1399.
Le marquis d’Argenson. À Bruxelles, ce 8 de janvier. — « J’ai été un mois en route. »
B.
1400.
L’abbé Moussinot. À Bruxelles, ce 16 janvier. — « Je reçois votre lettre du 13. »
C.
1401.
Maupertuis. À Bruxelles, ce 19 de janvier 1741. — « M. Algarotti est comte. »
B.
1402.
Le comte d’Argental. À Bruxelles, ce 19 de janvier. — « Je reçois votre lettre, mon cher et respectable ami. »
B.
1403.
Thieriot. Bruxelles, 27 janvier. — « Je ne devrais pas être surpris. »
P. in. 1820.
1404.
Frédéric II, roi de Prusse. À Bruxelles, le 28 janvier. — « M. de Keyserlingk et un questionneur. »
B.
1405.
Le comte d’Argental. À Bruxelles, 28 janvier. — « Si pourtant vous êtes curieux d’une nouvelle copie. »
C. et F.
1406.
L’abbé Moussinot. Ce 30 janvier, à Bruxelles. — « J’ai toujours oublié dans mes lettres. »
C.
1407.
M. de Champflour père. À Bruxelles, ce 12 février 1741. — « Je n’ai pu encore, monsieur, avoir l’honneur. »
B.
1408.
Thieriot. Bruxelles, 16 février. — « Vous me ferez un plaisir extrême. »
B.
1409.
Cideville à la marquise du Châtelet. Rouen, 19 février. — « On vient de m’envoyer votre lettre. »
P. in. 1820.
1410.
Le comte d’Argental. Ce 20 février. — « Voilà, je crois, la seule occasion de ma vie. »
B.
1411.
L’abbé Moussinot. À Bruxelles, ce 25 février. — « J’ai donné à M. Dagieu. »
C.
1412.
Le comte d’Argental. Le 25 février. — « Vos yeux pourront-ils lire… ? »
B.
1413.
Le comte d’Argental. Le 26 février. — « Comment se porte mon cher ange gardien ? »
B.
1414.
M. de Champflour père. À Bruxelles, ce 3 mars 1741. — « Vous êtes trop bon. »
B.
1415.
Formont. À Bruxelles, le 3 mars. — « Formont, vous et les du Deffants. »
B.
1416.
M. Warmholtz. À Bruxelles, 12 mars. — « Permettez-moi de vous faire ressouvenir. »
B.
1417.
M. de Mairan. À Bruxelles, ce 12 mars 1741. — « Des savants digne secrétaire. »
B.
1418.
La comtesse d’Argental. À Bruxelles, le 13 mars. — « Au très-aimable secrétaire de mon ange gardien. »
B.
1419.
Cideville. À Bruxelles, ce 13 mars. — « Devers Pâque on doit pardonner. »
B.
1420.
Thieriot. Bruxelles, 13 mars. — « J’allais vous écrire, lorsque je reçois. »
B.
1421.
M. de Mairan. Le 24 mars. — « Vous êtes le premier ministre de la philosophie. »
B.
1422.
Frédéric II, roi de Prusse. À Bruxelles, ce 25 mars. — « À moi, Gresset soutiens de ta lyre éclatante. »
B.
1423.
Le comte d’Argental. Bruxelles. — « Mme du Châtelet fait aux anges. »
C. et F.
1424.
Mlle Quinault. À Bruxelles, ce 1er avril 1741. — « On m’a dit deux nouvelles. »
Éd. 1822.
1425.
M. de Mairan. À Bruxelles, le 1er avril. — « Me voici tout à travers du schisme. »
B.
1426.
Helvétius. À Bruxelles, le 3 avril. — « J’ai reçu aujourd’hui votre diamant. »
B.
1427.
Thieriot. Bruxelles, ce 6 avril. — « J’étais instruit du quiproquo. »
B.
1428.
Le comte d’Argental. À Bruxelles, le 7 avril. — « Ô vous qui cultivez les vertus du vrai sage. »
B.
1429.
À M. L. C. 15 avril. — « Si vous voulez vous appliquer. »
B.
1430.
De Frédéric. 16 avril. — « Je connais les douceurs d’un studieux repos. »
Pr.
1431.
L’abbé de Valori. Bruxelles, le 2 mai 1741. — « Si quelque chose pouvait augmenter. »
B.
1432.
De Frédéric. 2 mai. — « De cette ville portative. »
Pr.
1433.
L’abbé Moussinot. Ce 2 mai, à Bruxelles. — « J’ai été à Lille quelques jours. »
C.
1434.
Maupertuis. À Bruxelles, le 4 mai. — « Mme du Châtelet m’a dérobé une marche. »
B.
1435.
M. de Mairan. À Bruxelles, 5 mai. — « J’ai reçu votre certificat. »
B.
1436.
Frédéric II, roi de Prusse. Bruxelles, 5 mai. — « Je croyais autrefois que nous n’avions qu’une âme. »
B.
1437.
Le comte d’Argental. À Bruxelles, ce 5 mai. — « Mes saints anges sauront que j’obéis. »
B.
1438.
De Frédéric. 13 mai. — « Les gazettes de Paris qui vous disaient à l’extrémité. »
Pr.
1439.
Le président Hénault. À Bruxelles, ce 15 mai. — « J’ai reçu hier bien tard la lettre. »
B.
1440.
La Noue, entrepreneur des spectacles à Lille. Bruxelles, mai. — « Mon cher faiseur et embellisseur de Mahomets. »
B.
1441.
La Noue… Bruxelles. — « Eh bien, mon cher confrère, je ferai donc venir. »
B.
1442.
M. Warmholtz. À Bruxelles, mai. — « Vous m’auriez fait un vrai plaisir. »
B.
1443.
Cideville. À Bruxelles, 27 mai. — « Je n’apprends qu’aujourd’hui que ce manuscrit. »
B.
1444.
Maupertuis. À Bruxelles, ce 28 mai. — « Vous n’avez pas sans doute reçu. »
B.
1445.
Thieriot. 28 mai. — « J’avais tout net oublié l’adresse. »
P. in. 1820.
1446.
M. de S’Gravesande. À Cirey, le 1er juin 1741. — « Je vous remercie de la figure. »
B.
1447.
De Frédéric. 2 juin. — « Vous qui possédez tous les arts. »
Pr.
1448.
Le comte d’Argental. À Bruxelles, ce 5 juin. — « Comment mes anges, qui sondent les cœurs. »
B.
1449.
L’abbé Moussinot. Ce 9 juin. — « Je reçois votre lettre du 6 juin. »
C.
1450.
M. Pitot de Launai. Bruxelles, le 19 juin 1741. — « Je suis un paresseux. »
B.
1451.
Helvétius. À Bruxelles, ce 20 juin. — « Je me gronde bien de ma paresse. »
B.
1452.
L’abbé Moussinot. À Bruxelles, ce 20 juin. — « En réponse à votre lettre du 16. »
C.
1453.
Thieriot. À Bruxelles, le 21 juin. — « Je vous avoue que je suis étonné. »
B.
1454.
De Frédéric. 25 juin — « L’annonce de votre Histoire. »
Pr.
1455.
Frédéric II, roi de Prusse. À Bruxelles, le 29 juin. — « Sire, chacun son lot. »
B.
1456.
Maupertuis. À Bruxelles, le 1er juillet 1741. ‑ « Je suis très-mortifié que vous soyez assez leibnitzien. »
B.
1457.
Cideville. Bruxelles, ce 11 juillet. — « Vir bonus et prudens. »
B.
1458.
M. de Locmaria. Bruxelles, le 17 juillet. — « J’ai reçu le mémoire des vexations. »
B.
1459.
M. César de Missy. À Bruxelles, ce 18 juillet. — « Vous m’accuserez sans doute du péché. »
C. et F. (Suppl.)
1460.
Thieriot. À Bruxelles, 18 juillet. — « Si vous passez quelquefois chez Briasson. »
C. et F.
1461.
Cideville. Bruxelles, ce 19 juillet. — « Celui qui a fait un examen si approfondi. »
B.
1462.
De Frédéric. 22 juillet. — « Après la sentence que vous venez de prononcer. »
B.
1463.
Frédéric II, roi de Prusse. Bruxelles, le 3 août 1741. — « Vous dont le précoce génie. »
B.
1464.
Le marquis d’Argenson. À Bruxelles, ce 9 août. — « Mme du Châtelet vous mande. »
B.
1465.
Maupertuis. À Bruxelles, 10 août — « Je ne mettrai pas, mon cher aplatisseur. »
B.
1466.
Formont. À Bruxelles, le 10 août. — « Il me semble que si je vivais. »
B.
1467.
Thieriot. 14 août. — « En vous remerciant de vos bons documents. »
C. et F..
1468.
Helvétius. À Bruxelles, ce 14 août. — « Mon cher confrère en Apollon, j’ai reçu. »
B.
1469.
Le cardinal de Fleury. Bruxelles, le 18 aoùt. — « Il ne m’appartient pas d’oser demander. »
B.
1470.
Le comte d’Argental. À Bruxelles, 22 août. — « Je ne vous écris guère. »
B.
1471.
De Frédéric. 24 août. — « De tous les monstres différents. »
Pr.
1472.
Maupertuis. Bruxelles, septembre 1741. — « Je vous supplie de revoir encore. »
C. et F.
1473.
Thieriot. Bruxelles, le 16 septembre. — « Je comptais faire un voyage à Cirey. »
B.
1474.
M. Ségui. Bruxelles, le 29 septembre. — « J’ai reçu la lettre que vous m’avez fait. »
B.
1475.
Thieriot. 6 octobre 1741. — « N’avez-vous pas reçu des lettres de Berlin. »
P. in. 1820.
1476.
Maupertuis. À Bruxelles, le 6 octobre. — « Vous devez, mon cher aplatisseur de ce globe. »
B.
1477.
Cideville. Bruxelles, ce 28 octobre. — « Vous qu’à plus d’un doux mystère. »
B.
1478.
Thieriot. (Paris), 6 novembre 1741. — « Je suis dans l’ancienne maison. »
B.
1479.
À la reine de Prusse (épouse de Frédéric). Paris. — « Son Altesse royale madame la margrave de Baireuth.
B.
1480.
Frédéric II, roi de Prusse. À Cirey, ce 21 décembre 1741. — « Soleil, pâle flambeau de nos tristes hivers. »
B.
1481.
M. Berger. Cirey. — « Vous ne devez pas plus douter. »
B.
1482.
Le comte d’Argental. À Cirey, ce 25 décembre. — « Je ne rends pas à mes chers anges. »
B.
1742
1483.
De Frédéric. 8 janvier 1742. — « Je vous dois deux lettres. »
Pr.
1484.
Le marquis d’Argenson. À Cirey, le 10 janvier. — « Frère Macaire et frère François. »
B.
1485.
Thieriot. Grai en Franche-Comté, 19 janvier. — « Quoique je ne croie pas de léger. »
P. in. 1820.
1486.
Le comte d’Argental. À Grai en Franche-Comté, ce 19 janvier. — « Nous avons passé par la Franche-Comté. »
B.
1487.
Cideville. À Grai en Franche-Comté, ce 19 janvier. — « Le plus ambulant de Nos amis. »
B.
1488.
M. Berger. Janvier. — « L’ermite de Cirey n’oubliera jamais. »
C. et F.
1489.
La Noue. Le 28 janvier. — « Mon cher Mahomet, mon cher Thraséas. »
B.
1490.
M. de Champflour père. Cirey, ce 3 février 1742. — « La lettre que vous m’avez fait l’honneur. »
B.
1491.
M. de Champflour fils. À Cirey en Champagne, ce 3 février. — « Je suis bien sensible à Notre souvenir. »
B.
1492.
De Frédéric. 3 février. — « Le démon qui m’a promené. »
Pr.
1493.
M. de Mairan. (Paris), février. — « Je comptais avoir l’honneur de vous rendre. »
C. et F.
1494.
Le comte d’Argental. Mars 1742. — « Mme du Châtelet n’a point été à Versailles. »
C. et F.
1495.
M. de La Roque. Mars. — « Permettez que je m’adresse à vous. »
B.
1496.
Le comte d’Argental. Paris, mars. — « Les saints anges sont adorables. »
B.
1497.
Cideville. Ce samedi. — « Je mène une vie désordonnée. »
B.
1498.
De Frédéric. 23 mars. — « Je crains de vous écrire. »
Pr.
1499.
Frédéric II, roi de Prusse. Avril 1742. — « Pendant que j’étais malade, »
B.
1500.
De Frédéric. 12 avril. — « C’est ici que l’on voit tous les saints ennichés. »
Pr.
1501.
M. de Chenevières. Paris, le 12 mai 1742. — « Adieu la cour. »
C. et F.
1502.
M. de Chenevières. Paris. — « Je vous fais les plus tristes remerciements. »
C. et F.
1503.
La Noue. Fontainebleau, ce lundi… mai — « Je comptais avoir un plaisir plus flatteur. »
B.
1504.
Frédéric II, roi de Prusse. À Paris, le 15 mai. — « Quand vous aviez un père. »
B.
1505.
Frédéric II, roi de Prusse. À Paris, ce 26 mai. — « Le Salomon du Nord en est donc l’Alexandre. »
B.
1506.
Cideville. De Versailles, juin 1742. — « Mon très-aimable ami, je m’intéresse plus. »
B.
1507.
De Frédéric. 18 juin. — « Les palmes de la paiz. »
Pr.
1508.
De Fredéric. 20 juin. — « Enfin ce Borcke est revenu. »
Pr.
1509.
Frédéric II, roi de Prusse. Juin. — « Sire, me voilà dans Paris. »
B.
1510.
De Jore. 30 juin 1742. — « J’ai reçu les trois cents livres. »
B.
1511.
L’abbé du Resnel. Ce mercredi. — « Je suis encore obligé de prendre. »
C. et F.
1512.
Thieriot. — « Voici la lettre en question. »
B. et F.
1513.
À messieurs *** . — « On publia, il y a deux ans. »
B.
1514.
M. Falkener. Juillet 1742. — « If I have forgot the scraps. »
C. et F.
1515.
M. *** — « Nous avons une affaire à la cour. »
C. et F. (Suppl).
1516.
Frédéric II, roi de Prusse. Juillet. — « J’ai reçu des vers, et de très-jolis vers. »
B.
1517.
La comtesse de Mailly. 13 juillet. — « J’ai appris avec la plus vive douleur. »
B.
1518.
Frédéric II, roi de Prusse. Juillet. — « Ô le plus extraordinaire de tous les hommes »
B.
1519.
De Fredéric. 25 juillet. — « Je vous paye à la façon des grands seigneurs. »
Pr.
1520.
De Frédéric. 7 août 1742. — « Vous me dites poétiquement. »
Pr.
1521.
M. de Marville, lieutenant général de police. Paris, le 14 août. — « J’ai exécuté l’arrêt. »
B.
1522.
Le cardinal de Fleury. À Paris ce 22 août. — « En partant pour Bruxelles. »
B.
1523.
Le comte d’Argental. À Paris, le 22 août, en partant. — « Tandis que vous êtes à Lyon. »
B.
1524.
Mme de Champbonin. De Reims. — « On a retenu la vivacité. »
B.
1525.
De Frédéric. 26 août. — « De la source où la Faculté. »
Pr.
1526.
Frédéric II, roi de Prusse. Le 29 août. — « Après votre belle campagne. »
B.
1527.
Cideville. À Bruxelles, le 1er septembre 1742. — « Allah, illah, allah. »
B.
1528.
De Frédéric. 1er septembre. — « Federicus Virgilio, salut. »
Pr.
1529.
M. César de Missy. À Bruxelles, ce 1er septembre 1742. — « Je trouve à mon retour à Bruxelles. »
C. et F. (Suppl.)
1530.
Mme de Solar. À Bruxelles, le 2 septembre. — « Ce fut le 23 du dernier mois. »
B.
1531.
De Frédéric. 2 septembre. — « Je ne sais rien de mieux après vous-même. »
Pr.
1532.
Le cardinal de Fleury. Le 10 septembre. — « Je commence par envoyer à Votre Éminence. »
B.
1533.
Le marquis d’Argenson. À Bruxelles, le 10 septembre. — « Je vous en fais mon compliment. »
B.
1534.
Le cardinal de Fleury. À Bruxelles, le 2 septembre. — « Je regarde les lettres de Votre Éminence. »
B.
1535.
Le comte d’Argental. À Bruxelles, 24 septembre. — Mon cher ange de lumière a donc vu. »
C. et F.
1536.
Frédéric II, roi de Prusse. À Bruxelles, 2 octobre 1742. — « Vous laissez reposer la foudre et les trompettes. »
B.
1537.
Thieriot. À Bruxelles, le 9 octobre. — « J’ai reçu votre lettre du 2 octobre. »
B.
1538.
De Frédéric. 13 octobre. — « J’étais justement occupé. »
Pr.
1539.
L’abbé Aunillon. Octobre. — « Allah ! illah ! allah »
B.
1540.
M. César de Missy. À Bruxelles, 20 octobre. — « J’ai fait un petit voyage. »
C. et F. (Suppl).
1541.
Le cardinal de Fleury. Bruxelles, le 20 octobre. — « Malgré la honte où l’on doit être. »
B.
1542.
M. de Marville, lieutenant général de police. Bruxelles, le 30 octobre. — « M. le cardinal de Fleury m’a fait l’honneur. »
B.
1543.
Thieriot. Bruxelles, le 3 novembre 1742. — « Je vous avoue que je suis aussi fâché. »
B.
1544.
Frédéric II, roi de Prusse. À Bruxelles, novembre. — « Je suis bien heureux que le plus sage des rois. »
B.
1545.
M. César de Missy. Ce 7 novembre, à Bruxelles. — « Je reçois votre lettre non datée. »
C. et F. (Suppl.)
1546.
M. César de Missy. À Bruxelles, ce 10 novembre. — « J’envoie la seconde cargaison. »
C. et F. (Suppl.)
1547.
De Fréderic. 18 novembre. — « J’ai vu ce monument durable. »
Pr.
1548.
D’Arnaud. À Bruxelles, 20 novembre. — « Mon cher enfant en Apollon, vous vous avisez donc. »
B.
1549.
M. César de Missy. Ce samedi 24. — « Voilà l’ode d’un citoyen. »
C. et F. (Suppl).
1550.
Le comte d’Argental. À Bruxelles, novembre. — « Votre gardiennerie m’a donc inspiré. »
B.
1551.
M. César de Missy. 3 décembre 1742. — « Je suis bien surpris de n’entendre point. »
C. et F. (Suppl).
1552.
De Frédéric. 5 décembre. — « Au lieu de votre Pucelle et de votre belle Histoire. »
Pr.
1553.
Le marquis d’Argenson. 11 décembre. — « Le pauvre malade vous renvoie. »
C. et F.
1554.
M. César de Missy. À Paris, 12 décembre. — « Je n’ai reçu votre lettre du 18 novembre. »
C. et F. (Suppl.)
1555.
Frédéric II, roi de Prusse. Paris, décembre. — « Sire, j’ai reçu votre lettre aimable. »
B.
1743
1556.
M. César de Missy. 4 janvier 1743. — « Je m’en rapporte bien à vous. »
C. et. F. (Suppl.)
1557.
Moncrif. 1er février 1743. — « J’ai été enchanté de vous retrouver. »
B.
1558.
De Frédéric. 22 février. — « Nous avons dit hier de vous. »
Pr.
1559.
De Bonneval. Paris, 27 février. — « J’ai été chez vous hier matin. »
B.
1560.
Le comte d’Argental. Mars 1743. — « Vous avez bien raison, ange tutélaire. »
B.
1561.
M. ***, de l’Académie française. — « J’ai l’honneur de vous envoyer. »
B.
1562.
M. Boyer, ancien évêque de Mirepoix. Mars. — « Il y a longtemps que je suis persécuté. »
B.
1563.
Le comte d’Argental. — « Mon adorable ami, vous n’aurez pas. »
B.
1564.
Le comte d’Argental. À Versailles, vendredi, mars. — « Voici, mon très-cher ange, un fait comique. »
B.
1565.
Cideville. À Paris, ce 23 mars. — « Tachons donc de nous rassembler. »
B.
1566.
À … 27 mars. — « Serai-je un impudent… ? »
B. et F.
1567.
Le comte d’Argental. Mars. — « Quand les autres en ont gros. »
B.
1568.
Moncrif. — « J’ai été à Versailles. »
C. et F.
1569.
M. d’Aigueberre. À Paris, le 4 avril 1743. — « J’ai été bien malade. »
B.
1570.
De Vauvenargues. 4 avril 1743. — « Il y a longtemps, monsieur. »
G.
1571.
De Frédéric. 6 avril. — « Vous me comblez de biens. »
Pr.
1572.
Vauvenargues. Paris, 15 avril 1743. — « J’eus l’honneur de dire hier. »
B.
1573.
Le comte d’Argental. À Passy, ce 16. — « Anges parisiens, vous saurez que nous sommes. »
C. et F.
1574.
De Vauvenargues. 22 avril 1743. — « Je suis au désespoir que vous me forciez. »
G.
1575.
Cideville. Ce mercredi, 8 mai 1743. — « Mon aimable ami, dont l’amitié. »
B.
1576.
Cideville. Ce jeudi, 16 mai. — « Mon cher ami, qui me faites plus d’honneur. »
B.
1577.
Vauvenargues. À Paris, le 17 mai 1743. — « J’ai tardé longtemps à vous remercier. »
B.
1578.
De Frédéric. 21 mai. — « Depuis quand, dites-moi, Voltaire. ? »
Pn.
1579.
Frédéric II, roi de Prusse. Juin 1743. — « Grand roi, j’aime fort les héros. »
B.
1580.
Le comte d’Argental, ministre de la guerre. Samedi 8 juin. — « Je me flatte, monseigneur, que je partirai. »
B.
1581.
Thieriot. À Paris, le 11 juin. — « La persécution et le ridicule. »
B.
1582.
Pont-de-Veyle. Juin. — « Il est bien dur de partir. »
B.
1583.
De Frédéric. 15 juin. — « Quand votre ami, tranquille philosophe »
Pr.
1584.
De Frédéric. 25 juin. — « Oui, votre mérite proscrit. »
Pr.
1585.
Cideville. À la Haye, ce 27 juin. — « Il n’arrive que trop souvent. »
B.
1586.
Frédéric II, roi de Prusse. La Haye, le 28 juin. — « Sous vos magnifiques lambris. »
B.
1587.
De Frédéric. 3 juillet 1743. — « Je vous envoie le passe-port. »
Pr.
1588.
Mlle Dumesnil. À la Haye, 4 juillet. — « La divinité qui a eu les hommages. »
B.
1589.
Le comte d’Argental. À la Haye, le 5 juillet. — « Eh bien, nos adorables anges. »
B.
1590.
Le comte d’Argenson, ministre de la guerre. La Haye, 5 juillet. — « Dans ce fracas de dispositions. »
B.
1591.
Frédéric II, roi de Prusse. La Haye, dans votre vaste et ruiné palais, 13 juillet. — « Mon roi, je n’ai pas l’honneur. »
B.
1592.
Le comte d’Argenson. À la Haye, ce 15 juillet. — « Serait-ce vous faire mal ma cour. »
B.
1593.
Le comte d’Argenson. La Haye, ce 18 juillet. — « Voici la seconde partie de l’état secret. »
B.
1594.
Le comte d’Argenson. La Haye, 23 juillet. — « Le même homme qui vous est tendrement attaché. »
B.
1595.
M. Amelot, ministre des affaires étrangères. La Haye, 2 août 1713. — « Je dépêchai, le 21 du mois passé. »
B.
1596.
M. Amelot. Ce 3 août. — « Hier, après le départ de ma lettre. »
B.
1597.
Le marquis d’Argenson. À la Haye, le 8 août. — « Soyez chancelier de France. ».
B.
1598.
Le comte d’Argental. À la Haye. — « Il y a tant de gens, et de gens en place. »
B.
1599.
Le duc de Richelieu. À la Haye, 8 août. — « J’ai reçu la lettre dont vous m’avez honoré. »
B.
1600.
M. Amelot. La Haye, 16 août. — « J’ai reçu les ordres et les sages instructions. »
B.
1601.
Thieriot. À la Haye, ce 16 août. — « Je mène ici une vie délicieuse. »
B.
1602.
M. Amelot. À la Haye, ce 17 août. — « Heureusement le courrier n’est pas encore parti. »
B.
1603.
De Frédéric. 20 août. — « Je ne suis arrivé ici que depuis deux jours. »
Pr.
1604.
Le comte d’Argental. Sur l’eau, près d’Utrecht, ce 23 août. — « La Haye en Touraine est donc une ville. »
B.
1605.
De Frédéric. 24 août. — « Ce sera donc à Berlin. »
Pr.
1606.
L’abbé de Valori. Berlin, le 31 août. — « Je viens de me vanter à monsieur votre frère. »
B.
1607.
M. Amelot, ministre des affaires étrangères. À Charlottenbourg, ce 3 septembre 1743. — « Aujourd’hui, après un dîner plein de gaieté. »
B.
1608.
Le marquis de Valori. Du 7 septembre, ce mardi au soir. — « Je me prive. »
B.
1609.
De Frédéric. 7 septembre. « Vous me dites tant de bien de la France. »
Pr.
1610.
Frédéric II, roi de Prusse. Septembre 1743. — « Votre Majesté aurait-elle assez de bonté. ? »
B. et Pn.
1611.
De Frédéric. 8 septembre. « Je n’ose parler à un fils d’Apollon. »
Pr.
1612.
M. Amelot. À Baireuth, ce 13 septembre. — « Le roi m’a dit que, par les mémoires. »
B. et F.
1613.
M. Amelot. Ce 3 octobre 1743. — « En revenant de la Franconie. »
B.
1614.
Le comte de Podewils. Le 3 octobre. — « Lorsque d’un feu charmant. »
B.
1615.
M. Amelot. Le 5 octobre. — « Ce que vous mande M. de Valori. »
B.
1616.
De Frédéric. 7 octobre. — « La France a passé jusqu’à présent. »
Pr.
1617.
M. Amelot. À Berlin, le 8 octobre. — « Dans le dernier entretien particulier. »
B.
1618.
Thieriot. À Berlin, le 8 octobre. — « J’ai reçu vos deux lettres. »
B.
1619.
Frédéric II, roi de Prusse. 1743. — « C’est vous qui savez captiver. »
B.
1620.
Le baron de Keyserlingk. Dans un f… village près de Brunswick, ce 14 octobre au matin. — « Que je me console un peu avec vous. »
B.
1621.
Maupertuis. À Brunswick, 16 octobre. — « J’ai reçu dans mes courses. »
B.
1622.
M. Uriot. À Brunswick, ce 16 octobre. — « J’ai été bien mortifié. »
B.
1623.
De la princesse Ulrique. Octobre 1743. — « C’est pour vous faire part, monsieur. »
B.
1624.
M. Amelot. Le 27 octobre. — « En arrivant à la Haye, je commence. »
B.
1625.
De Frédéric. Octobre 1743. — « J’ai bien cru que vous seriez content. »
Pr.
1626.
Frédéric II, roi de Prusse. La Haye, 28 octobre. — « Vous voyagez toujours comme un aigle. »
B.
1627.
De la princesse Ulrique. 29 octobre. — « C’est avec un vrai plaisir. »
B.
1628.
Mme de Champbonin. — « Mon corps a voyagé. »
B.
1629.
Frédéric II, roi de Prusse. À Lille, 16 novembre 1743. — « Est-il vrai que, dans votre cour. »
B.
1630.
L’abbé de Valori. Paris, ce 28 novembre. — « Pourquoi à Étampes, monsieur ? »
B.
1631.
De Frédéric. 4 décembre 1743. — « La peau de ce guerrier fameux. »
Pr.
1632.
La princesse Ulrique de Prusse. À Paris, ce 22 décembre. — « Ce n’est donc pas assez d’avoir perdu. »
Adv.
1744
1633.
M. de La Martinière. Ce 3 janvier 1744. — « J’ai attendu le temps des étrennes. »
B.
1634.
Frédéric II, roi de Prusse. À Paris, 7 janvier. « Je reçois à la fois de quoi faire tourner. »
B.
1635.
La reine de Prusse (mère de Frédéric). À Paris, 7 janvier. « J’écris en vers au roi. »
Adv.
1636.
Le comte d’Argental. Bruxelles, le 2 février 1744. — « Il me prend envie de mander des nouvelles. »
B.
1637.
Vauvenargues. Le dimanche 11 février. — « Tout ce que vous aimerez. »
B.
1638.
L’abbé de Valori. Paris, 15 février. — « Il n’y a qu’une violente maladie. »
B.
1639.
M. Pallu, intendant à Lyon. Le 20 février. — « Béni soit l’Ancien Testament. »
B.
1640.
M. Nordberg. — « Souffrez qu’ayant entrepris. »
B.
1641.
De d’Alembert. 1er mars 1744. — « Serez-vous donc toujours l’adulateur du vice. »
OEuv. de d’Al.
1642.
Vauvenargues. Jeudi, 4 avril 1744. — « Aimable créature, beau génie. »
B.
1643.
De Frédéric. 7 avril 1744. — « Du faite de Notre empyrée. »
Pr.
1644.
Le marquis d’Argenson. À Cirey, ce 15 avril. — « Vanitas vanitatum et metaphysica vanitas. »
B.
1645.
Le duc de Richelieu. Ce 24 avril. — « Colletet envoie encore ce brimborion. »
B.
1646.
Le comte d’Argental. À Cirey en Félicité, ce 28 avril. — « Je vous envoie, mes anges tutélaires, un énorme paquet. »
B.
1647.
La princesse Ulrique de Prusse. Cirey, 1er mai 1744. — « Le prélat de Lubeck sur le trône élevé. »
Adv.
1648.
Vauvenargues. Ce lundi 7 mai 1744. — « En vous remerciant. Mais vous êtes trop sensible. »
B.
1649.
Cideville. À Cirey, le 8 mai. — « Vous m’avez envoyé le plus joli journal. »
B.
1650.
Thieriot. À Cirey, le 8 mai. — « Je bénis Dieu et le roi de Prusse. »
B.
1651.
L’abbé d’Olivet. À Cirey, le 8 mai. — « Si Marc Tulle avait écrit en français. »
B.
1652.
L’abbé de Valori. Cirey, le 8 mai. — « Je vois qu’il faut s’adresser à des rois. »
B.
1653.
De Mannory. Ce 10 de mai 1744. — « Il y a longtemps, monsieur, que vous n’avez entendu. »
B.
1654.
Le duc de Richelieu À Cirey, ce 28 mai. — « Vous, qui valez mieux mille fois. »
B.
1655.
Thieriot. À Cirey, le 30 mai. — « Je vous suis très-obligé de la sensibilité. »
B.
1656.
Le président Hénault. À Cirey, 1er juin 1744. — « Les gens de bonne compagnie, et ceux qui prétendent. »
B.
1657.
Jacob Vernet. À Cirey, 1er juin. — « Un des grands avantages de la littérature. »
B.
1658.
Le comte d’Argental. À Cirey, le 5 juin. — « Vous m’avez écrit, adorable ange. »
B.
1659.
Le duc de Richelieu. Cirey, ce 5 juin. — « Vous êtes un grand critique. »
B.
1660.
Le comte d’Argenson, ministre de la guerre. À Cirey, 6 juin. — « Comment diable M. leduc de Foix. »
B.
1661.
Le duc de Richelieu. À Cirey, ce 8 juin. — « Je crains bien qu’en cherchant. »
B.
1662.
Thieriot. À Cirey, le 11 juin. — « Souvenez-vous que j’avais dit. »
B.
1663.
Le duc de Richelieu. Cirey, 18 juin. — « J’ai reçu les opinions de mes juges. »
B.
1664.
Martin Kahle. — « Monsieur le doyen, je suis bien aise d’apprendre. »
B.
1665.
Le comte d’Argental. À Cirey, le 11 juillet 1744. — « Le convalescent fait partir aujourd’hui. » B.
B.
1666.
M. Clément, receveur des tailles à Dreux. Cirey, 11 juillet. — « J’ai reçu à la campagne. »
B.
1667.
Le comte d’Argental. À Cirey, le 23 juillet. « J’avais déjà fait le divertissement. »
B.
1668.
Le marquis d’Argenson. À Cirey, 8 ou 9 d’août 1744. Dieu merci, je ne sais pas comme je vis. « À propos, je suis un infâme paresseux. »
B.
1669.
Le comte d’Argental. Le 9 août. — « Adorable ami, je reçois votre lettre. »
B.
1670.
Le comte d’Argental. À Cirey, août. — « Eh bien, mes chers anges, tandis que vous y êtes. »
B.
1671.
Le comte d’Argental. À Cirey, le 25 août. — « Deux nouveaux divertissements. »
B.
1672.
Le comte d’Argental. À Cirey, août. — « Je vous supplie, mes saints anges, de considérer. »
B.
1673.
Le président Hénault. À Cirey, le 1er septembre 1741. — « Ô déesse de la santé ! »
B.
1674.
Le comte d’Argental. Septembre. — « Voilà ma petite drôlerie. »
B.
1675.
Le comte d’Argental. À Champs, septembre 1744. – « Je partis pour Champs. »
B.
1676.
Le président Hénault. À Champs, ce 14 septembre. — « Le roi, pour chasser son ennui, »
B.
1677.
La comtesse d’Argental. À Champs, le 18 septembre. — « Vraiment, votre idée est très-bonne. »
B.
1678.
M. Berger. À Paris, le 7 octobre 1744. — « J’ai bien peur de perdre l’imagination. »
B.
1679.
Le président Hénault. — « D’un pinceau ferme et facile. »
B.
1680.
M. Amelot. Ce lundi, 16 novembre 1744. — « Le Prussien est entièrement dans vos intérêts. »
B. et F.
1681.
Le marquis d’Argenson, ministre des affaires étrangères. 29 novembre. — « De quoi diable m’avisai-je. »
B.
1682.
Néricault Destouches. Le 3 décembre 1744. — « J’ai toujours été au rang de vos amis. »
B.
1683.
Le marquis d’Argenson, ministre. Ce 7 décembre. — « M. de Schmettau vient de me montrer. »
B.
1684.
De Mannory. Ce jeudi matin. — « Vous m’avez permis de vous importuner. »
B.
1685.
Le comte d’Argental. Ce jeudi. — « L’un et l’autre de mes anges, je vous prie. »
B.
1686.
Le marquis d’Argenson, ministre des affaires étrangères. Samedi au soir, 18 ou 19 décembre. — « J’ai l’honneur de vous renvoyer. »
B.
1687.
Le marquis d’Argenson. 26 décembre. — « Vous avez trop de bonté pour ce pauvre avocat. »
B.
1688.
Vauvenargues. — « L’état où vous m’apprenez. »
B.
1745
1689.
Le marquis d’Argenson. Le jour de la Circoncision 1745. — « Monsieur Bon, premier président. »
B.
1690.
Thieriot. — « Je vous renvoie la prose de M. le maréchal de Schmettau. »
C. et F.
1691.
La Condamine. Versailles, le 7 janvier. — « Votre style n’est point d’un homme. »
B.
1692.
Vauvenargues. Versailles, 7 janvier. — « Le dernier ouvrage que vous avez bien voulu. »
B.
1693.
All’ eminentissimo e reverendissimo signore colendissimo Passionei. Versailles, 9 janvier. — « Lo scolare dell’ Eminenza Vostra. »
B. et F. (Suppl. 1865.)
1694.
Le comte d’Argental. Paris, ce lundi. » Voici un prologue, voici. »
B.
1695.
De Vauvenargues. 21 janvier. — « J’ai reçu avec la plus grande confiance. »
G.
1696.
De Vauvenargues. 27 janvier. — « Je n’aurais pas été longtemps fâché. »
G.
1697.
Cideville. À Versailles, le 31 janvier. — « Je suis un barbare qui n’écris point. »
B.
1698.
Thieriot. Versailles, 1745. — « Je suis à Versailles en retraite. »
C. et F.
1699.
Le marquis d’Argenson. Le 8 février 1745 — « Je vous renvoie le manuscrit. »
B.
1700.
Cideville. — « Si ma faible machine. »
B.
1701.
Le comte d’Argental. Versailles, 25 février. — « La cour de France ressemble. »
B.
1702.
Thieriot. Versailles, ce 27 février. — « Je n’ai ici ni mains ni pieds. »
C. et F.
1703.
Le comte d’Argental. — « Mon cher ange gardien, vous ne réussissez. »
B.
1704.
De Vauvenargues. — « Je vous accable, monsieur, de mes lettres. »
B.
1705.
Cideville. À Versailles, le 7 mars 1745. — « Je compte vous apporter. »
B.
1706.
La Condamine. Versailles, mars. — « Mon très-ambulant philosophe, j’ai obéi. »
B.
1707.
Moncrif. À Versailles, mars. — « Avec ces grâces infinies. »
B. et F. (Sup. 1865.)
1708.
Le marquis d’Argenson. 20 mars. — « Vous n’êtes jaloux que de faire du bien. »
C. et F.
1709.
Vauvenargues. À Versailles, ce 3 avril 1745. — « Vous pourriez me dire comme Horace. »
B.
1710.
Le marquis d’Argenson. — « Que Dieu récompense la reine. »
B.
1711.
Cideville. À Paris, ce 10 avril 1745. — « Vos vers, mon charmant ami, me paraissent. »
B.
1712.
Cideville. Ce 12 avril. — « Je suis si vain. »
B.
1713.
Le marquis d’Argenson. 16 avril. — « Je cours à Chillons. »
B.
1714.
Duclos. Avril. — « J’en ai déjà lu. »
B.
1715.
Le marquis d’Argenson. Paris, 29 avril — « Je tremble que nos tristes aventures. »
B.
1716.
De Vauvenargues. 30 avril 1745. — « Je ne vous dirai pas, monsieur, sic raro scribis. »
G.
1717.
Le marquis de Valori. Paris, 1er mai 1745. — « Vous achevez mon bonheur. »
B.
1718.
La princesse Ulrique. À Paris, ce 2 mai. — « J’ai eu la consolation de voir ici. »
Adv.
1719.
L’abbé de Valori. Paris, le 3 mai. — « Les faevrs des rois et des papes. »
B.
1720.
Le marquis d’Argenson. À Paris, ce 3 mai. — « Eh bien, il faudra donc vous laisser partir. »
B.
1721.
Le comte d’Alion. — « Je vous supplie de présenter. »
C. et F.
1722.
Néricault Destouches. Paris, ce 8 mai. — « J’ai été à Châlons. »
C. et F.
1723.
Cideville. À Paris, ce 12 mai. — « Je suis réduit à la prose. »
B.
1724.
Le marquis d’Argenson. 13 mai. — « Ah le bel emploi pour votre historien ! »
B.
1725.
Du marquis d’Argenson. — « Monsieur l’historien, vous aurez du appendre. »
B.
1726.
La marquise de Pompadour. — « Quand César, ce héros charmant. »
B.
1727.
Le marquis d’Argenson. Le 20 de mai. ‑ « Vous m’avez écrit une lettre. »
B.
1728.
Le marquis d’Argenson. Ce 26 mai. — « Tenez, monseigneur, je n’en peux plus. »
B.
1729.
Le marquis d’Argenson. À Paris, le 29 mai. — « Malgré l’envie, ceci a du débit. »
B.
1730.
Cideville. 30 mai. — « Vos vers sont charmants. »
B.
1731.
Le marquis d’Argenson. 30 mai. — « Au milieu des énormes paquets. »
B.
1732.
Cideville. À Paris, ce 31 mai. — Le comte de Saxe m’a remercié. »
B.
1733.
Cideville. Jeudi, après minuit, 3 juin 1745. ‑ « J’apprends, en arrivant, que votre amitié. »
B.
1734.
Le comte Algarotti. Parigi, 4 giugno. — « Mi lusingava, caro mio. »
B.
1735.
M. de Crouzas. Paris, 6 juin. — « Prenez-vous-en à la bataille de Fontenoy. »
B.et F.
1736.
Cideville. Mercredi matin, 9 juin. — « Après avoir travaillé toute la nuit. »
B.
1737.
Le président Hénault. Ce 13, 14 et 15 juin. — « Rival heureux de Salluste et d’Horace. »
B.
1738.
Le comte de Tressan. Le 15 juin. — « Vous avez vaincu. »
B.
1739.
Moncrif. À Paris, le 16 juin. — « Je n’avais, mon cher sylphe. »
B.
1740.
Le comte de Tressan. Le 17 juin. — « Je n’ose vous supplier. »
B.
1741.
Le duc de Richelieu. Le 20 juin. — « Voici un petit morceau. »
B.
1742.
Moncrif. À Champs, le 22 juin. — « Je sens, mon très-aimable Zélindor. »
B.
1743.
Cideville. À Champs, ce 25 juin. — « Mon charmant ami, celui des Muses. »
B.
1744.
Le marquis d’Argenson. À Champs, le 25 juin. « Je suis, comme l’Arétin. »
B.
1745.
Le comte Algarotti. Parigi, 27 giugno. — « Signor mio illustrissimo e principe colendissimo. »
B.
1746.
Le marquis d’Argenson. 28 juin. — « On pretend que vous donnerez. »
C. et F.
1747.
Le marquis d’Argenson. À Champs, 4 juillet 1745. — « Vous allez donc faire le siège. »
C. et F.
1748.
La marquise de Pompadour. — « Sincère et tendre Pompadour. »
B.
1749.
De la princesse Ulrique. — « Je m’étais réservé le plaisir. »
B.
1750.
Maupertuis. Paris, samedi 31 juillet. — « On dit que vous partez ce soir. »
B.
1751.
Le marquis d’Argenson. Le 10 août 1745. — « Je viens de recevoir le portrait. »
B.
1752.
Benoît XIV. Parigi, 17 agosto. — "Beatissimo Padre, ho ricevuto. »
B.
1753.
Mgr Leprotti, archidiacre pontifical. Parigi, 17 agosto. — « Mi pare che un poema nel quale. »
Cour. d’It.
1754.
Cardinal Passionei. Parigi, 17 agosto. — « Eminenza, mi sono lusingato. »
F. Tr.
1755.
Le marquis d’Argenson. Le 17 août. — « J’ai envie de ne point jouir. »
B.
1756.
Le cardinal Querini. Parigi, 17 agosto. — « La perfetta conoscenza. »
B.
1757.
Le marquis d’Argenson. À Étiolles, le 19 août. — « Je ne crains pas, monseigneur, malgré votre belle modestie. »
B.
1758.
Mgr G. Cerati. Parigi, 20 agosto. « Signore illustrissimo e padrone. »
B.
1759.
Le président Hénault. Août. — « Vous devez avoir reçu. »
B.
1760.
L’abbé de Voisenon. — « Vous êtes dans le beau pays. »
B.
1761.
Le marquis d’Argenson. Le 28 septembre 1745. — « Je reçois, monseigneur, votre lettre. »
B.
1762.
Richelieu. — « Le malingre Voltaire ne put hier. »
C. et F.
1763.
Le marquis d’Argenson. Du 29. — « Voici ce que je viens de jeter. »
B.
1764.
M. Falkener, secrétaire du duc de Cumberland. Paris, ce 1er octobre 1745. — « Sir, you hear a name that I love. »
C. et F.
1765.
Le comte d’Argental. À Fontainebleau, ce 5 octobre. — « Vraiment les grâces célestes. »
B.
1766.
Cideville. Le 6 octobre. — « Lorsque tu fais un si riche tableau. »
B.
1767.
Le cardinal Passionei. Fontainebleau, 12 octobre. — « J’ai reçu une lettre en français. »
Am. d’aut.
1768.
Le marquis d’Argenson. À Paris, ce 20 octobre. ‑ « Il n’y a pas de soin que je ne prenne. »
B.
Billet rajouté : « Voici, monseigneur, ce qui m’a passé par la tête. »
1769.
Moncrif. — « Le petit billet de mon cher sylphe. »
C. et F.
1770.
Le marquis d’Argenson. À Champs, ce 23 octobre. — « Vraiment, ce que je vous ai proprosé. »
B.
1771.
Falkener. Paris, 23 octobre. — « My dear and honorable friend, how could. »
C. et F.
1772.
Richelieu. Octobre. — « Je n’ai pas osé troubler mon héros. »
C. et F.
1773.
Le cardinal Querini. À Paris, ce 25 octobre. — « Il faudrait vous écrire dans plus d’une langue. »
B.
1774.
Le cardinal Querini. Parigi, 7 di novembre 1745. — « Tutti li seguaci d’Ippocrate. »
B.
1775.
Marmontel. — « Venez, et venez sans inquiétude. »
B.
1776.
La Reynière. 17 novembre. — « Le très-obligé et très-malade Voltaire. »
C. et F.
1777.
De J.-J. Rousseau. 11 décembre 1745. — « Il a quinze ans que je travaille. »
Conf.
1778.
J.-J. Rousseau. Le 15 décembre. — « Vous réunissez deux talents. »
B.
1779.
La Reynière. Paris, rue Traversière, 17 décembre. — « Je suis dans un si triste état. »
C. et F.
1780.
Le comte d’Argental. À Versailles, décembre. — « Je vous envoie, mes adorables anges, une fête. »
B.
1781.
La comtesse d’Argental. 1745. — « Impossible, impossible. »
B. et F.
1746
1782.
Cideville. Versailles, le 7 janvier 1746. — « J’ai entendu dire en effet. »
B.
1783.
Le marquis d’Argenson. Paris, 8 janvier. — « Je ne décide point entre Genève et Rome. »
B.
1784.
Le marquis d’Argenson. À Paris, le 14 janvier. — « Si le prince Édouard. »
B.
1785.
M. Bourgeois. À Paris, ce 20 janvier. — « Les maladies fréquentes qui m’accablent. »
Rev. de l’Aunis.
1786.
Le cardinal Querini. Parigi, 3 febbrajo 1746. — « Porgo a lei mi nuovo rendimento. »
B.
1787.
Le marquis d’Argenson. À Paris, le 17 février. — « Je vous fais mon compliment »
B.
1788.
M. de Crouzas. Paris, 27 février. — « La lettre que vous m’avez fait l’honneur. »
et F.
1789.
La Condamine. Mars 1746. — « Mon cher philosophe ou juif errant. »
B.
1790.
La duchesse de Montenero. Versaglia. — « Perdoni l’Eccellenza Vostra, se le scrivo. »
B.
1791.
Vauvenargues. — « J’ai passé plusieurs fois chez vous. »
B.
1792.
Le cardinal Passionei. Marzo. — « Stento ad imparare la lingua italiana. »
B.
1793.
Le marquis d’Argenson. Mars. — « Je ne vous fais point ma cour. »
B.
1794.
Thieriot. Versailles, 18 mars. — « Je vous remercie des bavardages italiens. »
P. in. 1820.
1795.
M. et Mme d’Argental. « Voltaire sait d’hier la mort du président Bouhier. »
B.
1796.
Le comte de Tressan. Le … mars. — « Je vous ai toujours cru ou parti. »
B.
1797.
Au R. P. de La Tour, jésuite, principal du collège Louis-le-Grand. Paris, 1746. — « Ayant été élevé longtemps. »
B.
1798.
M. Amman, secrétaire de l’ambassade de Naples à Paris. Versailles, 26 mars. — « Tu vatem vates laudatus. »
B.
1799.
Moncrif. Mars. — « Mon cher sylphe, dont je n’ose encore. »
B.
1800.
Moncrif. — « Aimable sylphe, je sais toutes les faveurs. »
C.et F.
1801.
Mgr G. Cerati. Parigi, 6 aprile 1746. — « Vostra Signoria illustrissima è venuta. »
B.
1802.
Moncrif. Paris, 7 avril. — « J’ai reçu, mon très-sage et très-aimable ami. »
C. et F.
1803.
L’abbé Alary. Paris, 7 avril. — « Que dites-vous de ce poëte Roi. »
C.et F.
1804.
Le cardinal Querini. Parigi, 12 aprile. — « Mi è stato detto. »
B.
1805.
Le prince de Craon. — « Sia lecito ad un antico servitore. »
C.et F.
1806.
Le marquis d’Argenson. 15 avril. — « Je suis bien malade, mais vous me rendez la santé. »
B.
1807.
Roi au lieutenant général de police. 26 avril. — « Au retour de la campagne. »
Desv.
1808.
Moncrif. Avril. — « Mon céleste sylphe, mon ancien ami. »
B.
1809.
Vauvenargues. Avril. — « Je ne sais où trouver M. de Marmontel. »
B.
1810.
Maupertuis. Paris, 1er mai 1746. — « Mon illustre ami, je vous reconnais. »
B.
1811.
Vauvenargues. Mai. — « Quoi ! la maladie m’empêche. »
B.
1812.
Le cardinal Querini. Parigi, 8 maggio. — « Ho ricevuto il cumulo de’ suoi favori. »
B.
1813.
Vauvenargues. Paris, lundi 9 mai. — « Nos amis peuvent continuer leurs feuilles. »
B.
1814.
Vauvenargues. Versailles, 13 mai. — « J’ai usé, mon très-aimable philosophe. »
B.
1815.
Vauvenargues. 14 mai. — « J’ai apporté à Paris. »
B.
1816.
À M. Bourgeois. — « Voici, monsieur, trois exemplaires.»
Rev. de l’Aunis.
1817.
De Vauvenargues. 15 mai. — « Je ne mérite aucune des louanges. »
G.
1818.
Le marquis d’Argenson. Paris, 16 mai. — « Voici, monseigneur, ma bavarderie académique. »
B.
1819.
La comtesse de Verteillac. Paris, 21 mai. — « Je n’ai entendu parler. »
B.
1820.
Vauvenargues. 22 mai. — « La plupart de vos pensées me paraissent dignes. »
B.
1821.
De Vauvenargues. 23 mai. — « Vous me soutenez, mon cher maitre. »
B.
1822.
Vaurenargues. 23 mai. — « J’ai peur d’être né dans le temps. »
B.
1823.
La comtesse de Verteillac. Paris, 30 mai. — « Il est très-vrai, madame, que si mon goût. »
B.
1824.
Vauvenargues. Mai. — « « Je vais lire vos portraits. »
B.
1825.
Cardinal Querini. 1 giugno 1746. — « Eminenza, sono strinto ora. »
B.
1826.
La comtesse de Verteillac. Paris, 3 juin. — « Vous jugez bien, madame, que si j’avais reçu. »
B.
1827.
M. ***, à l’occasion de la lettre de M. d’Argenson à M. Van Hoey, ambassadeur des Provinces-Unies. Juin. — « Le roi mon maître. »
C. et F.
1828.
Le marquis d’Argenson. Paris, 10 juin. — « Je vous ai envoyé ce matin. »
C. et F.
1829.
Le prince de Craon. Giugno. ‑ « Un cittadino avanzato al titolo. »
B.
1830.
Agli Accademici della Crusca. Parigi, 12 giugno. ‑ « Eccellentissimi signori, il favore. »
B.
1831.
Le chenalier Falkener. Paris, 13 juin. — « My dearest and most respected friend. »
C. et F.
1832.
M. Berger, directeur de l’Opéra. Du 13 juin, « Il me serait bien peu séant. »
B.
1833.
Le marquis d’Argenson. Paris, jeudi 23 juin. — « Triomphez en tout. »
C. et F.
1834.
M. Fr. Muller. Versailles, 28 junii — « Si longo et gravi morbo. »
B.
1835.
M. Bourgeois. « Puisque vous travaillez. »
Rev. de l’Aunis.
1836.
Al signor sesretario dell’ Accademia etrusca di Cortona. Versaglia, 3 luglio 1746. — « Mi pare che io sia aggregato. »
B.
1837.
Al signor Guadagni, segretario della Societa botanica à Firenze. Versaglia, 3 luglio. — « Tra i grandi favori. »
B.
1838.
Maupertuis. À Versailles, le 3 juillet. — « Je compte que vous avez reçu d’Utrecht. »
B.
1839.
De Louis de Travenol à l’abbé d’Olivet. 6 juillet 1746. — « La part que vous prenez. »
H. B.
1840.
M. Bollioud Vermet. 12 juillet. — « Je vous remercie, monsieur, du livre. »
B.
1841.
Le marquis d’Argenson. 22 juillet. — « Eh bien, monseigneur, il faut marier. »
C. et F.
1842.
Le comte d’Argental. Août 1746. — « Que dites-vous de moi. »
C. et F.
1843.
Le comte Algarotti. 13 agosto. — « Si compiacerà, per questa volta. »
B.
1844.
Cideville. Paris, 19 août. — « Pardonnerez-vous à un homme. »
B.
1845.
Le comte de Tressan. À Paris, 21 août. — « Je dois passer dans votre esprit. »
B.
1846.
Frédéric II, roi de Prusse. Paris, 22 septembre 1746. — « Votre personne me sera toujours chère. »
B.
1847.
Le maréchal de Belle-Isle. Fontainebleau, 27 octobre 1746. — « Permettez, monseigneur, qu’un homme. »
B.
1848.
Cideville. À Fontainebleau, ce 9 novembre 1746. — « Je ne sais plus qui disait. »
B.
1849.
Le comte Algarotti. Parigi, 13 di novembre. — « Non ho voluto ringraziarla. »
B.
1850.
De La Place, vis-à-vis la barrière des Sergents, à Paris, 26 novembre. — « On me renvoie de Versailles. »
C. et F.
1851.
D’Alembert. Le 13 décembre 1746. — « En vous remerciant, monsieur, de vos bontés. »
B.
1852.
M. Moreau, avocat du roi au Châtelet. Paris, ce 13 décembre 1746, rue Traveraière. — « J’ai l’honneur de vous envoyer. »
H. B.
1853.
De Frédéric. 18 décembre. — « Le marquis de Paulmy sera reçu. ».
Pr.
1854.
M. Moreau. — « Il s’en faut bien, monsieur, que je regarde. »
H. B.
Mémoire.
1855.
Le duc de Richelieu. À Paris, le 24 décembre 1746. — « Très-magnifique ambassadeur. »
B.
1747
1856.
M. Moreau. 4 janvier 1747. — « Persistez dans votre noble résolution. »
H. B.
1857.
M. Moreau. Jeudi, 5 janvier. — « Permettez, monsieur, que j’aie l’honneur. »
H. B.
1858.
De Mannory. (9 janvier). — « Il y a plusieurs jours que j’ai reçu. »
H. B.
1859.
M. Moreau. (11 janvier). — « Souffrirez-vous que l’avocat Mannory. »
H. B.
1860.
Frédéric II, roi de Prusse. À Paris, ce 5 février 1747. — « Sire, eh bien, vous aurez Sémiramis. »
B.
1861.
De Frédéric. 22 février. — « Vous n’avez donc point fait. »
Pr.
1862.
Frédéric II, roi de Prusse. Versailles, 9 mars 1747. — « Les fileuses des destinées. »
B.
1863.
M. Moreau. Ce mardi. — « Je n’ai point eu la sottise de répondre. »
H. B.
1864.
Thieriot. À Versailles, le 10 mars. — « Je vous renvoie vos livres italiens. »
B.
1865.
Le comte Algarotti. 2 avril 1747. — « Vous que le ciel en sa bonté. »
B.
1866.
De Frédéric. 24 avril. — « Vous rendez la Mort si galante. »
Pr.
1867.
Le comte d’Argenson. À Paris, le 4 de la pleine lune. — « L’ange Jesrad a porté jusqu’à Memnon. »
B.
1868.
Le marquis d’Argenson. Paris, 12 juin 1747. — « L’éternel malade, l’éternel persécuté. »
B.
1869.
M. Walther. Paris, 15 juin. — « M. lecomte Algarotti m’ayant mandé. »
B.
1870.
Le marquis des Issarts. Versailles, le 7 août 1747. — « La lettre aimable dont vous m’honorez. »
B.
1871.
Le comte d’Argental. — « Moi, être fâché contre vous. »
B.
1872.
M. Walther. Paris, 23 septembre 1747. — « Sur vos propositions, et à la priére. »
B.
1873.
M. Walther. Fontainebleau, 1747. — « Je reçois votre lettre avec les preuves. »
C. et F.
1874.
M. de Champflour fils. Sceaux, 20 novembre 1747. — « Je vous fais mon compliment. »
B.
1875.
M. M *** académicien d’Angers. Sceaux, 26 novembre. — « Je reçois avec une respectueuse reconnaissance. »
C. et F.
1876.
Moncrif. — « Mon aimable sylphe, vous auriez été content. »
C. et F.
1748
1877.
Cideville. Le 2 janvier 1748. — « Les rois ne me sont rien. »
B.
1878.
M. de Mairan. Versailles, 10 janvier. « Je vous remercie bien tendrement. »
B.
1879.
Moncrif. — « Mon très-aimable Almanzor, j’ai été. »
C. et F.
1880.
Marmontel. Lunéville, à la cour, 13 février 1748. — « J’avais bien raison de vous dire. »
B.
1881.
Dom Calmet, abbé de Sénones. Lunéville, 13 février. — « le préfère la retraite à la cour. »
B.
1882.
Le comte d’Argental. Lunéville, 14 février. — « Mes divins anges, me voici donc à Lunéville. »
B.
1883.
Le président Hénault. Lunéville, février. — « J’ai vu ce salon magnifique. »
B.
1884.
Marmontel. À Lunéville, 15 février. — « Je vous avais déjà écrit. »
B.
1885.
La comtesse d’Argental. Lunéville, 25 février. — « J’ai acquitté votre lettre de change. »
B.
1886.
Mme de Champbonin. De Lunéville. — « Le désir d’aller vous surprendre. »
B.
1887.
De Stanislas, roi de Pologne et duc de Lorraine. 17 mai 1748. — « J’ai cru, mon cher Voltaire, jusqu’à présent. »
B.
1888.
Mme de Truchis de Lagrange. À Paris, 7 juin 1718. — « Prologue : osons-nous retracer. ? »
B.
1889.
Le comte d’Argental. Le 10 juin. — « Je n’ai point écrit à mésange. »
B.
1890.
M. Clément, receveur des tailles à Dreux. À Versailles, le 11 juin. — « Vous m’avez toujours témoigné. »
B.
1891.
Au lieutenant général de police. 11 juin 1748. — « parait depuis quelques jours. »
L. Led.
1892.
Du lieutenant général de police. (13 juin.) — « Il y a quelque temps. »
L. Led.
1893.
Au lieutenant général de police. — « Je pense que l’édition. »
L. Led.
Mémoire.
1894.
D’Arnaud. Juin. — « Je vous fais mon compliment. »
B.
1895.
Au lieutenant général de police. — « Monsieur, le premier président de Rouen. »
L. Led.
1896.
Le comte d’Argental. Le 27 juin. — « Je pars demain. »
B.
1897.
Au lieutenant général de police. — « Permettez qu’en partant pour Commercy. »
L. Led.
1898.
Du lieutenant général de police. — « J’ai reçu, monsieur, avec la lettre. »
L. Led.
1899.
Le comte d’Argenson. Commercy, 19 juillet 1748. — « Voulez-vous bien permettre. »
B.
1900.
La Noue, à l’hôtel des comédiens du roi, faubourg Saint-Germain. Commercy, 27 juillet. — « J’eus l’honneur en partant de Paris. »
B.
1901.
Le comte d’Argental. À Commercy, le 2 août 1748. — « Plus de Cirey, mes chers anges. »
B.
1902.
L’abbé de Chauvelin. À Commercy, ce 12 août. — « Je ne sais comment va votre santé. »
B.
1903.
Le lieutenant général de police. — « Je vous prie de vouloir bien. »
L. Led.
1904.
Le comte d’Argental. À Lunéville, 15 août. — « Souffrirez-vous, mon ange gardien. »
B.
1905.
Le lieutenant général de police. 30 août. — « J’apprends, en arrivant à Paris. »
L. Led.
1906.
Du lieutenant géneral de police. — « J’ai été instruit. »
L. Led.
1907.
Au lieutenant général de police. Paris, 8 septembre 1748. — « Permettez qu’en partant pour Lunéville. »
C. et F.
1908.
Le comte d’Argental. À Chàlons, ce 12 septembre. — « Je ne peux vous écrire de ma main. »
B.
1909.
Le comte d’Argental au lieutenant général de police. Paris, 27 septembre. — « Je me suis présenté hier. »
L. Led.
1910.
Le lieutenant général de police au comte d’Argental. Paris, 27 septembre. — « Au moment où j’ai ouvert ce matin votre lettre. »
L. Led.
1911.
M. de La Montagne. À Lunéville, ce 30 septembre. — « J’ai lu avec un très-grand plaisir. »
H. B.
1912.
La comtesse d’Argental. À la Malgrange, le 4 octobre 1748. — « J’ai senti, madame mon ange. »
B.
1913.
Le comte d’Argental. À la Malgrange, 4 octobre. — « Voici bien des points sur lesquels j’ai à vous remercier et à vous répondre. »
B.
1914.
Marie Leckzinska. Le 10 octobre. — « Je me jette aux pieds. »
B.
1915.
Le comte d’Argental. Commercy, 10 octobre. — « Oui, respectable et divin ami. »
B.
1916.
Le comte d’Argental. Ce 11 octobre. — « Belles âmes, ces représentations si justes. »
B.
1917.
M. de La Montagne. À Lunéville, ce 18 octobre. — « Je crains bien, dans les fréquents voyages. »
B.
1918.
Le lieutenant général de police. Commercy, 20 octobre. — « J’apprends la protection que vous donnez. »
L. Led.
1919.
Du lieutenant général de police. Paris, 24 octobre. — « Je suis infiniment sensible. »
L. Led.
1920.
Le comte d’Argental. Octobre. — « Mme de Pompadour a plus fait. »
B.
1921.
Le comte d’Argental. À Lunéville, ce 23 octobre. — « Voici un gros paquet de Babylone. »
B.
1922.
Le lieutenant général de police. À Lunéville, ce 21 octobre. — « J’ai au tant de confiance en vous. »
L. Led.
1923.
D’Arnaud (Baculard). À Lunéville, le 25 octobre. — « Votre lettre sans date me dit. »
B.
1924.
Le comte d’Argental. Lunéville, le 30 octobre. — « Je reçois la lettre de mon cher ange. »
B.
1925.
Le lieutenant général de police. — « J’ai l’honneur de vous faire hommage. »
L. Led.
1926.
Le chevalier Falkener. Lunéville, 5 novembre 1748. — « Dear sir, your letter has afforded. »
C. et F.
1927.
Le comte d’Argental. Le 10 novembre. — « Mais mes anges sont donc au diable ? »
B.
1928.
M. Walther. 19 novembre. — « J’ai vu une lettre que vous écrivez. »
B.
1929.
D’Arnaud (Baculard). À Lunéville, le 28 novembre. — « Comment ! vous savez à qui l’on a donné. »
B.
1930.
De Frédéric. 29 novembre. — « En vain veux-je vous arrêter. »
Pr.
1931.
Le comte d’Argental. Le 1er décembre 1748. — « Divins anges, je serai sous vos ailes à Noël. »
C. et F.
1932.
Marmontel. À Lunéville, le 15 décembre. — « Voici ce qui m’est arrivé. »
B.
1933.
Le comte d’Argental. 16 décembre. — « Enfin je ris aux anges. »
B.
1934.
Cideville. À Loisei, près de Bar, 24 décembre. — « Je ne suis plus qu’un prosateur bien mince. »
B.
1935.
Le comte d’Argental. Cirey, 24 décembre. — « De Lunéville me voilà à Cirey. »
C. et F.
1936.
Le comte d’Argental. 31 décembre. — « Je ne suis point étonné de la chute. »
B.
1749
1937.
Le président Hénault, à table avec les Grâces. Cirey, 3 janvier 1749. — « Vous qui de la chronologie. »
B.
1938.
Le cardinal Querini. À Cirey, le 3 janvier. — « Le porgo il mio riconosciamento.»
C. et F.
1939.
D’Arnaud (Baculard). À Cirey, janvier. — « Je vous ai aimé. »
C. et F.
1940.
De Stanislas, roi de Pologne. 9 janvier. — « Peut-on s’attendre. »
B.
1941.
Frédéric II, roi de Prusse. Cirey, janvier. — « Le jeune d’Arnaud, qui par ses mœurs. »
B.
1942.
De Stanislas, roi de Pologne. 19 janvier. — « J’ai reçu votre lettre. »
B.
1943.
Le comte d’Argental. À Cirey, le 21 janvier. — « Ô anges, j’aimerais mieux me jeter. »
B.
1944.
Le président Hénault. — « Je vous avais déjà mandé. »
B.
1945.
D’Arnaud (Baculard). À Cirey, janvier. — « La malédiction, mon cher enfant. »
C. et F.
1946.
Frédéric II, roi de Prusse. Cirey, 26 janvier. — « Je reçois enfin le paquet. »
B.
1947.
Darget. À Cirey, ce 26 janvier 1749. — « M. d’Arnaud a dû vous mander. »
B.
1948.
De Stanislas, roi de Pologne. 31 janvier. — « Je vous suis redevable. »
B.
1949.
M. Berryer. Paris, 4 février 1749. — « Étant arrivé malade. »
C. et F.
1950.
De Stanislas, roi de Pologne. 5 février. — « Ce n’est pas Memnon qui m’ennuie. »
B.
1951.
Au lieutenant général de police. — « À vous seul. Vous devez être las. »
L. Led.
1952.
Du lieutenant général de police. Ce 8 février. — « Je reçois dans ce moment. »
L. Led.
1953.
De Fredéric. 13 février. — « Je reçois avec plaisir. »
Pr.
1954.
Le cardinal Querini. Paris, 16 février. — « Le mando lo sbozzo. »
C. et F.
1955.
Frédéric II, roi de Prusse. Paris, 17 février. — « Ce n’est pas le tout d’être roi. »
B.
1956.
De Stanislas, roi de Pologne. 17 février.
B.
À Mme la marquise du Châtelet. « Je vous rends mille grâces. »
À M. de Voltaire. — « P.-S. Je n’ai pas le temps. »
À Mme du Châtelet. « Oserais-je vous prier. »
1957.
L’abbé d’Olivet. — « Tuum tibi mitto Ciceronem. »
B.