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Asselineau - Le Livre des sonnets.djvu/280
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TABLE
Avertissement
i
Histoire du Sonnet
vii
Le Livre des Sonnets
1
Il n’eſt point tant de barques à Veniſe
1
Me ſouuenant de tes grâces divines
2
Des plus beaux yeux, & du plus cleir viſage
3
Avant le temps les temples fleuriront
4
Marie, leuez-vous, ma ieune pareſſeuſe
5
Ceſſe tes pleurs, mon liure ; il n’eſt pas ordonné
6
Comme on voit ſur la branche au mois de May la roſe
7
Quand vous ſerez bien vieille, au ſoir à la chandelle
8
Il ne faut s’esbahir, diſoient ces bons vieillars
9
Afin que ton honneur coule parmy la plaine
10
Bien que ceſte maiſon ne vante ſon porphire
11
Je vous enuoye vn bouquet que ma main
12
Si noſtre vie eſt moins qu’vne iournée
13
Ce pendant que Magny ſuit ſon grand Auanſon
14
Heureux qui, comme Vlyſſe, a fait un beau voyage
15
Voicy le Carneual, menons chaſcun la ſienne
16
Toy qui de Rome émerueillé contemples
17
Songe heureux & diuin, trompeur de ma triſteſſe
18
Lors que pour vous baiſer ie m’approche de vous
19
Je vis, ie meurs : ie me brûle & me noye
20
Tant que mes yeus pourront larmes eſpandre
21
Oh ! ſi i’eſtois en ce beau ſein rauie
22
Baiſe m’encor, rebaiſe moy & baiſe
23
Quenoille mon ſouci, ie vous promets & iure
24
Ce iourd’huy du Soleil la chaleur alteree
25
Quand ie voy quelque fois Madame emmy la rue
26
Icare eſt cheut icy le ieune audacieux
27
Lettres, le ſeul repos de mon ame agitée
28
Ceſte fontaine eſt froide, & ſon eau doux-coulante
29
Depuis le triſte poinct de ma fraiſle naiſſance
30
Sire, Thulene eſt mort ; i’ay veu ſa ſepulture
31
François, arreſte-toy, ne paſſe la campagne
32
Sire, voſtre Citron, qui couchoit autrefois
33
Qu’avec vne valeur à nulle autre ſeconde
34
Que mon Fils ait perdu ſa deſpoüille mortelle
35
Cependant qu’en la Croix plein d’amour infinie
36
Le péché me ſurmonte, & ma peine eſt ſi grande
37
Ton orgueil peut durer au plus deux ou trois ans
38
Aſſis ſur vn fagot, vne pipe à la main
39
Coucher trois dans vn drap, ſans feu ny ſans chandelle
40
Accablé de Pareſſe, & de Melancholie
41
Voicy les ſeuls coſtaux, voicy les ſeuls valons
42
Il eſt temps, ma belle ame, il eſt temps qu’on finiſſe
43
En vain, pauure Tircis, tu te romps le cerueau
44
Qui vid iamais au monde vn miracle pareil ?
45
Lors qu’Adam vit cette jeune beauté
46
Le ſilence regnoit ſur la terre & ſur l’onde
47
Des portes du matin l’Amante de Cephale
48
Il faut finir mes jours en l’amour d’Vranie
49
Job de mille tourments atteint
50
Deux Sonnets partagent la Ville
51
Apres l’œil de Melite il n’eſt rien d’admirable
52
Que vos ſoins, grande
Reine
,
enfantent de miracles !
53
Ne verſe point de pleurs ſur cette ſepulture
54
Sous ce marbre repoſe un monarque ſans vice
55
Quand le Sauveur ſouffroit pour tout le genre humain
56
Aux larmes, le Vayer, laiſſe les ieux ouverts
57
Grand Dieu
,
tes jugemens ſont remplis d’équité
58
Un amas confus de maiſons
59
Sève, qui peins l’objet dont mon cœur ſuit la loy
60
Parmi les doux tranſports d’une amitié fidele
61
Dans un fauteuil doré, Phèdre tremblante & blême
62
La jeune Eudoxe eſt une bonne enfant
63
Celui que nous plaignons, & qu’un ſort glorieux
64
On a vanté vos murs bâtis sur l’onde
65
La vie avance & fuit ſans ralentir le pas
66
La mort & la beauté ſont deux choſes profondes
67
Ne ris point des ſonnets, ô Critique moqueur !
68
J’étais un arbre en fleur où chantait ma Jeuneſſe
69
Que vient-elle me dire, aux plus tendres inſtants
70
Que ſon viſage eſt triſte & ſon front amaigri
71
Ah ! s’il eſt ici-bas un aſpect douloureux
72
Nourrice d’Allegri, Parme, cité chrétienne
73
Pétrarque, au doux ſonnet je fus longtemps rebelle
74
Homme, libre penſeur ! te crois-tu ſeul penſant
75
Béatrix Donato fut le doux nom de celle
76
J’ai perdu ma force & ma vie
77
Quel eſt donc ce chagrin auquel je m’intéreſſe ?
78
Mon âme a ſon ſecret, ma vie a ſon myſtère
79
Pour veiner de ſon front la pâleur délicate
80
Verſailles, tu n’es plus qu’un ſpectre de cité
81
La caravane humaine au ſahara du monde
82
La Satiété dort au fond de vos grands yeux
83
Le puits profond était poli comme un miroir
84
Cachez vos pleurs, madame, & votre épaule
85
« Je n’entrerai pas là, » dit la folle en riant
86
Si j’avais un arpent de ſol, mont, val ou plaine
87
Mon cœur eſt enterré ſous ce grand noiſetier
88
Deux cortèges ſe ſont rencontrés à l’égliſe
89
Quand les Géants, tordus ſous la foudre qui gronde
90
Après l’apothéoſe, après les gémonies
91
Le vert colibri, le roi des collines
92
Le vent d’automne, aux bruits lointains des mers pareil
93
Quand la fleur du ſoleil, la roſe de Lahor
94
Sois ſage, ô ma Douleur, & tiens-toi plus tranquille
95
Je te donne ces vers afin que ſi mon nom
96
Nous aurons des lits pleins d’odeurs légères
97
À cette heure où les cœurs, d’amour raſſaſiés
98
Sur la colline
99
Ainsi Pasiphaé
,
la fille du Soleil
100
La Reine Nicosis
,
portant des pierreries
101
Du haut du ciel profond, vers le monde agité
102
L’hirondelle eſt partie & la biſe eſt venue
103
Quel temple pour ſon fils elle a rêvé neuf mois !
104
Sur l’étang bleu que vient rider le vent des ſoirs
105
Les vieillards, quand près d’eux, ſemaine par ſemaine
]
106
La maiſon qu’elle habite aux portes d’un faubourg
107
Mon amour, tu le plains qu’avec le coloris
108
Il avait ſur l’échine une croix pour blaſon !
109
Dans le ciel diaphane où l’oiſeau s’aſſoupit
110
Fantoches à la mode, automates mondains
111
Une habitude longue & douce lui faiſait
112
C’eſt une chambre où tout languit & s’effémine
113
N’eſpère pas que tu l’apaiſes
114
Souvent, — & j’en frémis, — quand ſur ta lèvre infâme
115
La Grande Ourſe, archipel de l’Océan ſans bords
116
Toutes, portant l’amphore, une main ſur la hanche
117
S’il n’était rien de bleu que le ciel & la mer
118
Viens ! ne marche pas ſeul dans un jaloux ſentier
119
Dans les verres épais du cabaret brutal
120
Car les bois ont auſſi leurs jours d’ennui hautain
121
Malgré les larmes de ta mère
122
Vous dont les regards purs, éclatants de lumière
123
Lorſque tout douloureux regret fut mort en elle
124
L’immenſe ennui, ce fils bâtard de la douleur
125
Amant abandonné qu’une maîtreſſe oublie
126
Mon cœur était jadis comme un palais romain
127
« Pour toujours ! » me dis-tu, le front ſur mon épaule
128
Ils fuient, ivres de meurtre & de rébellion
129
L’air fraîchit. Le ſoleil plonge au ciel radieux
130
Oui, c’eſt au vieux Gallus qu’appartient l’héritage
131
Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal
132
Le four rougit ; la plaque eſt prête. Prends ta lampe
133
D’un doigt diſtrait frôlant la ſonore bîva
134
Le ſoleil ſous la mer, myſtérieuſe aurore
135
Bizarre comme un ſinge, & pareille aux Houris
136
Ah ! toi, l’indifférent, tu ſouffres à ton tour
137
C’eſt un matin de mars qu’elle m’eſt revenue
138
Pars, puiſque tu le veux, va-t’en, laiſſe le deuil
139
Je fais ſouvent ce rêve étrange & pénétrant
140
Cette relique exhale un parfum d’élégie
141
Maître Laurent Coſter, cœur plein de poéſie
142
Tous, l’amant qui dans un baiſer verſe fon âme
143
Dans le pays on les appelait
Les Songeants
144
S’il eſt vrai que ce ſiècle ait tué tous les Dieux
145
Les cloches qui tintaient ſous l’azur clair du ciel
146
Je n’ai gardé de toi, ma Mère, douce morte
147
Tout ce qui doit finir eſt court, — a dit un ſage
148
Oh ! qu’il fût ſeulement une perſonne, un être !
149
Si, comme je l’eſpère & comme tu le dis
150
Juge notre querelle, ô Toi qui nous entends
151
Ô Maître bien aimé, voici que tu repoſes
152
Frêle enfant, doux fantôme au contour délié
153
À peine ont-ils vingt ans, qu’ils ont déjà fermé
154
J’ai voulu de l’Amour ſéparer le Déſir
155
Donc, en ce même inſtant, flottait à mon infu
156
Un crucifix de fer tend ſes bras ſur le ſeuil
157
L’air s’embrume ; les joncs, roux comme de vieux os
158
Morts qui dormez, couchés dans nos blancs cimetières
159
Une minute avant l’ondée
160
Notes et Variantes
161
Appendice
. Les Règles du Sonnet
209
Index
des Auteurs
217
Index
des Sonnets
223
Catégorie
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