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Page:Docquois - Le Poème sans nom, 1919.djvu/272

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LE POÈME SANS NOM.
XVII. — 
C’est surtout par l’échange incessant de nos vices 
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XVIII. — 
Rappelons-nous, puisqu’aussi bien le souvenir 
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XIX. — 
Quand nous gisions l’un contre l’autre, abasourdis 
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XX. — 
Or, à peine étions-nous tombés du firmament 
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XXI. — 
L’humble fille des champs, tu sais, que j’ai séduite 
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XXII. — 
La nuit venue, et quand de la voûte du temple 
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XXIII. — 
Lorsque je veille ainsi sur son calme sommeil 
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XXIV. — 
Des gens chez qui je loge elle est la seule enfant 
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XXV. — 
Problème ténébreux ! Donc, cette Juliette 
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XXVI. — 
Pourquoi te dévoiler ces sentiments hideux ? 
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XXVII. — 
Nous mentir, on l’a dit, c’est pure charité 
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XXVIII. — 
C’est ainsi ! Parce que, volontairement traître 
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XXIX. — 
Me confesser à toi ! Quelle idée ! Eh ! que diable ! 
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XXX. — 
Tu n’as pas fait sur moi le beau geste qui lave 
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XXXI. — 
Te montres-tu, soudain, absorbée, et me plains-je 
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XXXII. — 
Ô tristes humains que vous êtes 
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XXXIII. — 
Quand je suis avec cette humble fille, parfois 
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XXXIV. — 
Nous faut-il renier tous les mauvais moments 
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XXXV. — 
Dis, te rappelles-tu l’ineffable douceur 
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XXXVI. — 
Le soleil n’atteint pas certains creux des vallons 
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XXXVII. — 
Et nous eûmes aussi des instants au jardin 
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