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Page:Docquois - Le Poème sans nom, 1919.djvu/274

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LXI. — 
Il arrive qu’un bûcheron, dans la fureur 
 78
LXII. — 
Nous ne connaissons rien de la loi qui motive 
 79
LXIII. — 
Sur le chemin poudreux, dans la lumière hostile 
 80
LXIV. — 
L’ange de la fraîcheur plane sous le soleil ! 
 81


LXV. — 
Ah ! je m’en souviendrai perpétuellement 
 83
LXVI. — 
« Je compare ! » Ce mot fait encor tintamarre 
 84
LXVII. — 
Or, aussitôt que de ta bouche 
 85
LXVIII. — 
D’ailleurs, m’étais-je dit, mon cher, c’est trop bouffon ! 
 86
LXIX. — 
« Eh bien ! mais Marianne, alors ? » 
 87


LXX. — 
Partout où tu passais ce n’étaient que hourras 
 89
LXXI. — 
De tout ça, j’en prenais et j’en laissais, ma chère 
 90
LXXII. — 
Ton charme ne troublait pas les seuls capucins 
 91
LXXIII. — 
Bref, tu t’es plainte à moi, comme d’un contre-sens 
 92
LXXIV. — 
De temps en temps, un désespoir réel t’abat 
 93


LXXV. — 
Ma chère, de tous ceux que tu pris à ta glu 
 95
LXXVI. — 
« Je t’aimais mal ; mais, toi, tu ne m’aimais pas mieux » 
 96
LXXVII. — 
Quand tu disais m’aimer, tu sais, le premier jour 
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LXXVIII. — 
Hélas ! chacun de nous vers le rêve emporté 
 99


LXXIX. — 
Les premiers jours (le souvenir m’en désaltère !) 
 101