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Page:Docquois - Le Poème sans nom, 1919.djvu/281

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CCI. — 
Si misérablement sont mortes nos amours 
 247


CCII. — 
À présent que je t’ai passée à mon tamis 
 249
CCIII. — 
Cependant, nous vivrons toujours au même lieu 
 250
CCIV. — 
Mais nous pouvons nous rencontrer, malgré nos soins 
 251


CCV. — 
L’air de la ville où tu respires m’est mauvais 
 253
CCVI. — 
Tous tes lauriers d’amour en ces vingt ans cueillis 
 254
CCVII. — 
« Ce qui m’est le plus cher s’écoule à tout moment. » 
 255


CCVIII. — 
Que devient Marianne, hélas ! me demandais-je 
 257
CCIX. — 
Au sablier laissons couler dix ans de sable 
 258
CCX. — 
Mais, toi-même, serrant ce premier témoignage 
 259
CCXI. — 
Combien d’êtres vivants moururent sans un cri 
 260
CCXII. — 
Lorsque je serai mort, ce que je vous demande 
 261


CCXIII. — 
Proteste, mais je sais, d’avance, que tu n’es 
 263




Paris. — Typ Ph. Renouard, 19, rue des Saints-Pères. — 54514